Jean-Jacques Rousseau L'emile
La thèse de l’auteur dit que l’éducation nous vient par trois maitres : la nature, les hommes et les choses et éduquer c’est faire tender ces “trois maîtres” vers une même fin. Rousseau soutient sa thèse en expliquant que les trois facteurs d’une bonne éducation sont la nature (le développement interne de nos facultés et de nos organes) ; l’homme (l’usage du développement) et les choses (l’acquis de notre propre expérience sur les objets qui nous affectent). Selon rousseau, si les trois maitres ne se contredisent pas ; on parle de mauvaise éducation. Jean-Jacques Rousseau explique premièrement que seule l’éducation peut nous faire homme. Il explique cela en expliquant en quoi consiste ce processus éducatif. Finalement, l’auteur explique que la finalité de l’éducation consiste en l’harmonisation du but des « trois maitres ». Selon lui, c’est cette harmonisation qui conduit à une éducation réussie.
Jean-Jacques Rousseau met tout d’abord en avant l’idée que seule l’éducation peut nous faire homme.
L’auteur met en parallèle des la première ligne du passage les hommes et les plantes afin de souligner que la faiblesse de l’homme est imposée par la nature. C’est ce qu’il montre en parlant d’un nouveau né doté de force qui serait incapable d’exploiter cette dernière. Nous pouvons penser que si le nouveau né n’avait pas cette faiblesse, ses parents ne s’occuperaient pas de lui. Rousseau suggère que c’est cette vulnérabilité naturelle qui mène a ce qu’on assiste l’enfant et c’est la fragilité dans laquelle il vient au monde qui souligne le fait qu’il n’est pas encore mature ou éduqué. L’auteur conclut donc que c’est l’éducation qui nous donne la vie, la force, la maturité, et qui nous fait homme.
Cette éducation parvient de trois « maitres » selon Rousseau : la nature, les choses et les hommes. C’est cette éducation qui nous différencie de l’animal, qui lui vit par