Jérusalem: une ville d'or, plein de gens extraordinaires

Je ne sais pas exactement quand ou comment c'est arrivé, mais au cours des treize mois lesquels j'ai vécu en Israël, je suis tombé profondement amoureux de cette ville spéciale et sacrée, la capitale d'Israël. Bien sûr, cet amour n'a pas mis long temps du tout à se developpait. Peut-être que c'était le premier vendredi soir où j'étais là, au moment où le beau soleil s'est couché, quand j'ai entendu le son de la cloche qui signifie la commencement du Sabbat, la journée de pause hebdomadaire des juifs. Chaque vendredi au coucher du soleil, la ville se transforme brusquement : d'une ville trépidante et remplie de tension en une ville tout à fait tranquille et paisible. Mais, probablement que je me suis pris d'engouement pour la «Ville d'or» le deuxième jour après mon arrivée, c'était un mardi et l'histoire qui suivra a eu lieu ce jour-là, l'après midi.

Il est nécessaire de savoir que les figures les plus importantes dans la société des juifs religieux sont les grands rabins. Comme la terre d'Israël est considérée, par nous, la plus sacrée au monde, les corps de tous les rabins sont amené là de toutes sortes d'autres pays pour y être enterrer. Cette journée-là, tout de suite après mon arrivée, le rabin le plus âgé au monde, Yitzhak Dov Koppleman (qui habitait à Lucerne, en Suisse, et qui a eu 106 ans quaand il est mort), s'est éteint. Incroyablement (selon moi), la ville de Jérusalem, qui a une population de deux tiers d'un million de citoyens, s'était arrêtée pour laisser les gens lui rendent leurs derniers hommages. Il avait enseigné pendant de si nombreuses années que dans certaines familles, trois générations avaient eu la chance d'avoir lui comme mentor.

Premièrement, après que la nouvelle a été connue, un char avec des haut-parleurs a circulé dans les quartiers religieux pour informer la population de l'heure et du lieu du service funéraire qui commençait quelques heures plus tard. Puis, à