« M.Durand, moi-même décida d'aller interroger un kanak venu en France pour des raisons très contestables. Au départ ce n'était pas l'histoire d'un kanak, mais deux. Il y avait Gocéné qui lui est aujourd'hui encore incarcéré, et Badimoin qui lui est malheureusement décédé. J'aimerais en savoir plus sur leur histoire qui a l'air si difficile mais à laquelle un d'entre eux a survécu. »

Avant de rencontrer Gocéné, je préparais les questions auxquelles il pourrait répondre. Je me demandais tout de même dans quelles conditions cet homme vivait et pourquoi il y vivait. Le racisme est la chose la plus détestable de ce monde . Auparavant, j'avais pris connaissances des événements produits a Paris car j'avais appris que Gocéné et Badimoin avait été victime d'une présence à l'exposition coloniale.

Arrivé au lieu d'incarcération du kanak, j’observai que ces conditions de vie était des plus minables, les murs était ronger par les moisissures, les sols et les toits était noirs de saleté, l'odeur je n'en parle pas, elle était pire qu'une odeur de cadavre dé-séché depuis des années. Plus j'avançais, plus j’appréhendais ce rendez-vous car je ne savais pas vraiment à qui j'avais a faire.

Mais en arrivant à quelques pas de lui, je voyais un homme accueillant, souriant, apparemment tout le contraire de ce que j'avais découvert dans les discours le décrivant, il paraissait tout, sauf agressif.

En effet, après l'avoir saluer, nous avons commencer à discuter, et cet homme était très gentil. Je lui demanda ensuite de me raconter son histoire depuis son arrivée en France, car le meilleur des témoignage serait celui d'un homme qui a vraiment vécu les moments présents avec tout les détails les plus abominables.

Il m’expliqua donc que tout d'abord son arrivée en France, plus particulièrement à Paris n'avait pas été effectuer en sa faveur, il avait été forcé a venir pour être exploités par des personnes racistes en 1931 quand a eu lieu l'exposition coloniale. Suite à cela il