La boétie, discours de la servitude volontaire
La Boétie utilise le champ lexical du pillage : « piller », « dévaster », « dépouiller » pour énoncer les dégâts de la tyrannie. 2). Les méfaits du tyran. Toutes ces infortunes infligées au peuple ne viennent pas « des ennemis » mais « de l’ennemi » : le tyran.
La Boétie dénonce l’ambition, le désir de conquête du tyran pour sa propre gloire, pour sa vanité.
Par le biais d’une comparaison rabaissante : « rien de plus que le dernier des habitants » l’auteur montre la faiblesse réelle du prince qui n’a : « que deux yeux, deux bras ». II). Le peuple est son propre