La bête humaine
Cependant, une vision chaotique est présenté la scène parait presque apocalyptique. D’abord il y a un état des victimes qui est fait par le narrateur car la Lison fait un parallèle avec le cheval par exemple la locomotive a des entrailles, un ventre, une haleine, des reins et le cheval a ces mêmes organes deux pieds, ses entrailles, son ventre, sa tête droite. La locomotive souffre comme le cheval « spasme d’atroce douleur ». Le parallélisme fait par Zola montre que la violence du choc est terrible car ils subissent tout les deux les mêmes dégâts physique et