La chevelure
Le 16 novembre 2009 Alexandre Hamelin
La chevelure POUR COMMENCER, dans le texte La chevelure, le personnage principal, enfermé dans un asile, est fou, car IL EST EN AMOUR AVEC UNE POIGNER DE CHEVEUX et la traite comme si elle était son amoureuse : « [Il] l’aimait si fort […] » (p. 248) Il la traitait comme un être humain, car il l’emportait avec lui partout. Il fait des promenades avec les cheveux et l’amène au théâtre comme le font des amoureux. Donc, je crois qu’il est fou, car ce n’est pas normal d’être ainsi en amour avec un objet. Dans le cas de ce monsieur, il s’agit de cheveux ayant autrefois appartenu à un humain. Ce comportement s’approche donc de la nécrophilie. DEUXIÈMEMENT, le personnage principal enfermé dans un asile et considéré comme fou est effectivement fou, car (il ne faisait) pas qu’être en amour avec cette chevelure, IL A DES RELATIONS INTIMES AVEC CETTE CHEVELURE : « Les baisers dont [il] la réchauffait [le] faisait défaillir de bonheur […] »(p. 247) Il embrassait cette chevelure et (couche avec elle) comme s’il s’agissait d’un humain, d’une femme. En effet, il est fou, car il n’est pas normal pour un être humain d’étreindre quelques cheveux ainsi. (La plupart des personnes seraient) même dégouté à l’idée que cette chevelure ait autrefois appartenu à quelqu’un et lui, il l’embrasse et couche avec cette chevelure. Il est donc assez fou de s’étreindre de cette chevelure.
FINALEMENT, je crois que (le personnage principal dans le récit de Guy de Maupassant est) fou, car LA CHEVLURE QU’IL A TROUVÉE DANS LE MEUBLE ANCIEN LE REND COMPLÈTEMENT OBSÉDÉ : «Elle [l’] obsédait le hantait.» (p.246) Durant une longue période de temps, il a pensé à cette chevelure. Il est arrivé qu’il ce soit réveillé la nuit et qu’il ne songeait plus qu’à cette poigner de cheveux. Pour calmer cette obsession,