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La conscience est elle un fardeau ?

423 mots 2 pages
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Qu'est-ce que la conscience? 3 déf, la conscience pour l'Homme est-elle ce qui lui permet de s'élever et e détacher des autres? Ou est-ce qui lui fait prendre conscience de son être? La conscience fait-elle le malheur de l'Homme? I _ Oui, la conscience peut être un fardeau, une chose négative à notre existence on prend conscience de nous même et des autres = responsabilité envers autrui (obligation), être de droits et de devoirs, être moral, respect de la loi...
Pascal, la finitude, ce qui nous condamne à être malheureux, on s'enferme dans des occupations, dans le divertissement, penser = penser à la mort vouloir être une chose, s'enfermer dans une définition, une caractéristique, ne plus être libre donc ne plus être pour soi, se fermer au monde comme une chose, s'enfermer dans des croyances (Dieu, religion, affirmer son infériorité), Sartre celui qui est lui est celui qui se choisit lui-même dans le monde
Transition ; il peut être autre que lui même "l'homme est ce qu'il n'est pas et qui n'est pas ce qu'il est" II _ Non la conscience est ce qui élève l'Homme à l'Etat de sujet et le distingue d'autrui et des autres êtres vivants opposition a Sartre, la conscience lui permet d'être libre comme il a conscience il peut obéir à ses propres lois, à sa raison, conscience psychologique, réfléchie, il s'impose ses propres règles. pour soi, ouvert sur le monde, être un sujet, substance pensante, permet de se connaître et d'être soi-même, une même unité, notion de permanence (morceau de cire de Descartes). se détacher par sa conscience des autres car conscience réfléchie en opposition à la conscience réfléchie, il a conscience d'avoir conscience et prend conscience des autres (en opposition aux isntincts) III _ As t-on conscience de tout? peut-on vraiment se fier à notre conscience? l'inconscient ne fait-il pas de la conscience un fardeau ? peut-on connaître vraiment? oui, conscience et connaissance de soi = subjectif, c'est par les autres que l'on se

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    Prendre conscience, c’est donc saisir par la conscience, c’est-à-dire s’apercevoir d’une chose, sans être entièrement immergé dans l’action – c’est, en d’autres termes, avoir la possibilité de se maîtriser. Ce qui nous détermine, c’est ce qui nous incline à faire une chose plutôt qu’une autre, sans avoir l’impression d’y être contraint. Se libérer, c’est se défaire d’une contrainte, de ce qui pèse sur nous indépendamment de notre volonté.….

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  • Suis-je ce que j'ai conscience d'être, 11/20
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    Cela nous amène donc à nous questionner si la conscience est ou non une connaissance, précise et indéniable de soi. Dans un premier temps, nous verrons que nous sommes conscient de nous même grâce à notre conscience, mais qu’il y a des limites à cette conscience, dû à notre inconscient, pour ensuite montrer qu’une connaissance de soi passe aussi par la vision que les autres ont de nous. « Je pense donc je suis », cette citation de Descartes nous amène à réfléchir sur la question : pourquoi pensons nous être comme nous nous voyons ? J’ai vécu des choses qui m’ont aidé à me comprendre, à me percevoir d’une façon qui sera toujours différente d’une autre personne. Certes, elle aura vécu la même chose que moi, mais n’ayant pas le même caractère, il est donc normal de ne pas ressentir les mêmes choses qu’elle.….

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  • Philo : "suis-je vraiment ce que j'ai conscience d'être ?"
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    Visiblement, la conscience ne nous livre qu’une partie de nous-mêmes et ne nous donne pas une totale connaissance de notre être. Pour acquérir une pleine maîtrise et connaissance de soi, ne nous faudrait-il pas dépasser cette connaissance partielle de soi ? Ainsi mon être, mon « moi » est-il ce dont j’ai conscience ?….

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  • Est-ce dans la solitude que l'on prend conscience de soi ?
    1213 mots | 5 pages

    Il s'agit plus précisemment du mouvement de la conscience, qui se retourne sur elle même pour se prendre comme objet. On peut distinguer trois niveaux de la conscience de soi. Cette dernière passe, tout d'abord, par la perception de son propre corps. Ensuite, on distingue la conscience de sa propre vie psychique, c'est à dire la prise de conscience par le sujet de ses propres sentiments, ses propres états affectifs. Enfin, la prise de conscience de soi naît de la prise de conscience de ses propres pensées, qui consiste à connaître son "essence", autrement dit, ce qui caractèrise fondamentalement l'homme: la pensée.….

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  • La conscience de soi est-elle libératrice ?
    1515 mots | 7 pages

    Mais ce qui nous revient à travers autrui peux nous déplaire. D'autre part, conscience de soi est intimement liée à liberté car dès lors que l'on a conscience de ce que l'on est, on peut exercer une libre pensée et donc une opposition à la soumission du monde extérieur, nous permettant d'être ce que nous sommes des êtres humains à contrario des animaux qui eux n’ayant pas conscience de ce qu’ils sont ne sont que des figurants. D'après la thèse de Sartre L'être et le néant, pour avoir conscience de soi, il faut percevoir le regard d'autrui, il n'y a pas selon lui, de relation immédiate de soi à soi-même, c'est donc en prenant conscience d'autrui que l'on prend conscience de soi même. Mais si ce qui nous revient à travers autrui ne nous convient pas, dans ce cas la prise de conscience de soi peut au contraire nous oppresser….

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  • toute prise de conscience est elle libératrice ?
    1668 mots | 7 pages

    Dans ce cas, la question qui se posera sera la suivante : Avoir conscience de quelque chose nous permet-il de ne plus l’endurer ? La conscience nous libère-t-elle de ce dont nous n’avions pas conscience ? Prendre conscience de tout, même du pire, est-il réellement libérateur ? Conscience, du latin conscientia qui signifie « connaissance » et provient du verbe latin scire « savoir ».….

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  • Suis-je ce que j'ai conscience d'être?
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    Peut-on se connaître soi-même comme on connaît un objet posé devant soi? On va examiner en quoi je suis ce que j'ai conscience d'être, et aussi ce qui dans mon être échappe à ma conscience, pour montrer que je suis ce que je me fais. I En quoi suis-je ce que j'ai conscience d'être. Ma conscience, c'est ce par quoi je suis immédiatement en rapport avec moi-même.….

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  • Peut-on se connaitre soi-meme ?
    706 mots | 3 pages

    A) déjà faut que tu définisses ce que c´est la conscience, et la conscience de soi car si ta pas conscience que t´existe, tu peux pas te connaitre donc sans conscience pas de connaissance. Alors, pour la partie favorable, tu peux parler de l´introspection , que c´est un moyen d´atteindre la connaissance de soi, ensuite tu peux dire que la conscience est une condition universelle de toute connaissance, là tu parles des deux sortes de conscience, psychologique et morale, tu dis ce qu´elles aportent, et tu peux aussi parler qu´Autrui contribue à notre connaissance de soi. apres pour la partie plutot défavorable, tu peux parler du moi empirique, qu´en faite le Moi est basé sur l´expérience, qu´il est en changement constant donc il est pas facile de le connaitre.….

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    Le philosophe Allemand Nietzche (XIXe siècle), dans Le Gai Savoir écrit : « A quoi bon la conscience, si elle est superflue pour l’essentiel de l’existence ? ». Il pose alors le problème de la fonction de la conscience dans la vie de tout être. Dès lors, on peut se demander : La conscience peut-elle être un fardeau ?….

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    Le savoir, apporté par la conscience, constitue-t-il une véritable connaissance de soi ? Ce savoir est-il immédiat, total, objectif ? Une véritable connaissance de soi ne suppose-telle pas une démarche active de prise de conscience ? Comment l’acquérir et quels en sont les obstacles ? Peut-on les surmonter ?….

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    Mais remplit-elle toujours cette fonction de savoir? Autrement dit, l'homme, avant la conscience, se connaît-il pour autant lui-même ? Avoir conscience de soi comme sujet, est-ce nécessairement se connaître soi-même ? La question est donc de savoir si l'on peut définit l'homme exclusivement par la conscience, en excluant l'inconscient de son essence? N'est-ce pas attribuer à l'homme une trop grande maîtrise de lui-même?….

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  • P3
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    Philosophie « Suis-je ce que j’ai conscience d’être ? » Dissertation n°3 Dans la question « suis-je ce que j’ai conscience d’être ? », nous pouvons nous interroger sur la notion du sujet pensant, pour cause l’utilisation du « je ».….

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