Compte rendu de spectacle:
La crise commence ou finit le langage

La pièce que nous sommes allés voir le 7 février 2013 se nomme La crise commence ou finit le langage. Le spectacle commençait à 20h et finissait vers environ 21h30. La représentation prenait place au théâtre de la ville à Valence, et donc dans une salle à l'italienne. La pièce est une adaptation qui est tirée de deux romans d'Eric Chauvier, La crise commence ou finit le langage et Que du bonheur. Ces deux romans ont donc étés mélangés en un seul texte pour le théâtre par le metteur en scène Olivier Balazuc.
Le rideau était déjà ouvert quand nous sommes entrés dans la salle, ce qui nous permettait de découvrir la scénographie e la pièce. Trois comédiens étaient déjà sur le plateau, sans musique. Deux d'entre eux étaient habillés en mécaniciens et essayaient de construire une table. Le troisième personnage quant à lui semblait un peu nerveux, voir stressé. En observant la scène, j'ai eu l'impression que la pièce était encore en train de se monter.
Comme le texte est une adaptation, je n'ai pas pu le lire au préalable, elle m’était donc totalement inconnue.

Premièrement, un homme, qui parle au public d'un sujet bien précis, on pourrait croire à une réunion ou à une conférence. Cependant, le personnage est nerveux et ne parvient pas à se relaxer. Arrivant en retard, sa « compagne » commence par s’asseoir dans le public, puis en voyant la détresse de l'homme, elle tente de le calmer et termine sa phrase avec « C'est que du bonheur ». Sur ce, l'homme va lui faire répéter cette phrase qui n'a pas de sens concret et est hypocrite pour lui. Cette discussion va amener à d'autres débat existentiels, au fil de la pièce, le sujet va se porter sur les plate-formes téléphoniques.

La scène était disposé en disposition frontale avec un espace de jeu varié (La femme dans le public au début). A un moment de la pièce, un des personnages descend du plateau pour aller chercher quelqu'un au hasard dans le