la crise de l'esprit
Qu'elle image de l'homme nous donne le texte ?
L'essai dont est tiré se texte fait partie d'un ensemble plus vaste, Variété publié en 1924. Les différents ouvrages qui porte ce nom, sont des recueils d'essais et de commentaire sur des sujets divers littéraires et philosophique.
Le titre de ce texte a déjà était le titre d'une conférence en Suisse sur la crise de l'esprit. Mais ce dont il est question ici concerne le bouleversement intellectuel qu'a provoqué la guerre.
I- La civilisation en péril.
Particularité de la 1er phrase répétition du pronom personnel de la 1er personne du pluriel, désigne les civilisations et signal une prosopopée. Ce sont elle qui prennent la parole. C'est donc prise de conscience de leur vulnérabilité. Annonce initiale dramatise la situation et souligne le danger encouru, celui d'un retour à une forme de chaos, de barbarie.
II- Fragilité de civilisation
Le 1er paragraphe définit la notion de civilisation : il s'agit d'un ensemble de savoir, de croyance, de production de l'esprit humaine qui se sont accumulés au fil des siècle.
L'auteur considère les cultes antiques, objet d'études séculaire ( saeculum, siècle), sont assimilés à « d'immenézsses navires » ( l 9) qui ont finit par couler, malgré l'impression de puissance qu'ils dégageaient .
Second paragraphe emplois réitéré ( répété, réutilisé) de « nom » ( L 12,14 et 15) semble montrer la fragilité des civilisations, car les guerres montrent que ce qui semble solide , permanent voir éternel peut n'être plus qu'un nom c'est à dire la trace d'un objet disparue.
Ainsi des nations puissantes pourraient un jour ne subsister que dans les souvenirs, comme celui des cités enfuient depuis longtemps dans les sables « Elam, Ninive, Babylone » ( l 12)
III- Les paradoxes des valeurs.
Le peuple allemand, qui représente l'aboutissement d'une certaine civilisation dont Valéy semble faire l'éloge associé à des valeurs