La dernière page d'un roman a-t-elle pour seul rôle de donner le dénouement ?
Le romancier peut souvent se demander par où commencer mais il est aussi difficile de clore car ce qui reste imprimé dans la tête du lecteur sont les premières et dernières pages.
Le roman nous offre, le plus souvent, à son aboutissement, droit à un dénouement qui le clos dans le temps, dans l'action et dans l'espace.
On mentionne, le plus souvent, la notion de dénouement dans le domaine du théâtre, par le défilement de l'intrigue, qui forme techniquement un « nœud ». On peut noter tout différents style théâtral et citer par exemple Le Cid de Corneille, qui se base sur le ''Dilemme'', et qui se fini donc par l'achèvement de ce problème. Nous pouvons maintenant passer au mot ''dénouement'' lui-même. Cela signifie dans le roman, que l'histoire est fini, supposant le sort des personnages fixé, ainsi que la péréquation des vainqueurs, vaincus, comme dans
La dernière page marque, le plus souvent, un aboutissement pour le personnage. Elle peut être ainsi le dénouement lors de la résolution d'un problème, d'un obstacle ou d'épreuves surmontés. On peut prendre exemple ... Lors de l'aboutissement d'un projet. On peut prendre référence ici, au roman à Bel Ami et son projet d'ambition de réussite. Cela peut être parfois un échec du projet du personnage comme … Une fin heureuse comme dénouement, le mariage du personnage par exemple. Et en dernier lieu, on pourra noter des personnages menés au bout de leur destin. Le roman peut présenter une vie, et la mener jusqu'à la mort, ce qui serait du ressort de la tragédie, ou même du roman autobiographique. On a bien vu qu'on a fréquemment une fin conclusive.
Dans le cas, où il n'y est pas de réellement d'intrigue, cette dernière page prend d'autres fonctions.
Le Roman n'est pas obligatoirement