La ducasse, germinal
Nous allons donc étudier un extrait descriptif de la troisième partie du chapitre 2, il s’agit du bal de fin de journée à l’occasion de la fête annuelle de la ducasse qui se déroule le dernier dimanche de juillet.
Nous essayerons de répondre à la question suivante : Par quoi Zola exprime t’il la joie propre et l’originalité de ce bal?
TOUT D’ABORD nous étudierons la manière dont laquelle Zola exprime la joie propre à cette fête.
Nous voyons premièrement le bonheur vécu par tout le monde . La joie de cette fête est montrée grâce a de nombreux procédés, premièrement nous comprenons que toute la famille est impliquée dans celle-ci avec le champ lexicale de la famille : des femmes, leurs hommes, des bandes d’enfants, les mères, les poupons joufflus, les petits,… Nous permet de comprendre qu’il n’y a pas d’âge pour participer à la fête annuelle de la Ducasse, qui rassemble toutes les générations. La joie est présente tout au long du texte : des mots comme épanouis, des personnifications comme : un rire continue qui tenait les bouches ouvertes, suivies d’une hyperbole : fendues jusqu’aux oreilles.
PUIS le côté plus libre de cette fête, ou les habitants ne respectent plus leurs principes.
Il y a un coté « libertins » de la soirée, la chair dehors, qui nous montre que les participants a cette fête n’hésite pas a se dénudés, ce qui est très rare a cette époque où la pudeur est encore très présente. Mais pas durant cette fête, nous le voyons encore un peu plus tard : les femmes, se levaient de temps en temps, allaient au fond et se troussaient, puis revenaient.
Mais aussi nous voyons que chaque habitants n’est pas dans la retenu durant cette fête avec l’énumération : les