La finalité première de la fiscalité, entendue comme l’ensemble des prélèvements, est de financer les dépenses publiques. Mais la structure de ces prélèvements obligatoires peut également jouer un rôle économique incitatif, via notamment des exonérations ou abattements d’impôts pour certaines activités ou certaines dépenses, ou à l’inverse désincitatif (cf. les écotaxes, c’est-à-dire les taxes frappant la consommation, la production ou l’émission de substances nuisibles pour l’environnement, comme les gaz à effet de serre), ainsi qu’un rôle de redistribution. Il consiste à corriger et à limiter les inégalités de revenus, notamment par l’intermédiaire de la progressivité de l’impôt.
Dans cet article on voudrait analyser le deux systèmes d’imposition differants qui sont à utiliser en Europe, surtout en France et en Russie et examiner tout les avatages et les defauts. Est-ce que-il y a le meilleur type de la liquidation d’impot?
Effectivement, le système fiscal en Russie est beaucoup moins sévère vis-à-vis des citoyens que dans la plupart des pays européens. Cependant, en dépit des taux d'imposition attrayants, la réputation du fisc russe à l’étranger n’est pas brillante. Le système fiscal russe, basé sur un unique impôt de 13% quelque soit le revenu de contribuable. D'une manière générale, il s'agit d'un impôt à taux unique, qu'on appelle aussi la «flat tax». La flat tax pratiquée en Russie est un impôt unique non progressif qui touche, avec le même taux, les revenus des particuliers. De nombreux libéraux défendent la simplicité et la lisibilité de cet impôt. «Le système fiscal de la Russie n’est pas si mauvais qu’on peut le croire en Occident» - estime Ulf Schneider, chef de la société de conseil Russia Consulting.
D’autre côté en France on s'applique le système d'impôt progressif qui signifie que la proportion des impôts sur le revenu est plus élevé pour les hauts revenus. Il existe un barème unique d'imposition, qui se caractérise par une progressivité par