La Grande Bretagne, l’AELE et le marché commun

En 1945, la GB ce trouve être la seule démocratie qui n’a jamais été ni occupée, ni vaincue par « les forces du Mal » (Allemagne nazis). Le Royaume Uni se trouve être le troisième grands, Churchill participe à toute les conférences internationale en vue de préparer la sortie de guerre, au côté de Roosevelt (Truman) et Staline. Yalta et Postdam
Lors des élections de juillet 1945, ce sont les travaillistes qui obtiennent la majorité aux Communes et doivent affronter l’immense tache de la reconstruction. Ces élections sont les premières depuis 1935, la Chambre sortante est alors composée d’une majorité des conservateurs. Churchill qui reconnait sa défaite le 26 juillet 1945 (avant la capitulation du Japon), laisse à la tête du gouvernement britannique un travailliste, Attlee. Le Parti travaillistes promet des nationalisations limitées, ainsi que la sécurité sociale et le plein emploi, de même que le nivellement de la société grâce à l’arme de la fiscalité.
Le 7mai 1948 à lieu le congrès européen à La Haye, ou près de 800 délégués de toutes les tendances politiques européennes se réunissent ainsi que quelques représentants du Canada et des Etats-Unis y sont également présents. C’est Winston Churchill qui est chargé de présider ce congrès. En septembre 1946, lors d’un discours à Zurich, ce dernier avait déjà montré son intérêt pour une éventuelle création des "Etats-Unis d’Europe". Ainsi, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’idée d’une unité européenne revient au premier plan et se renforce dans les esprits. Le but du congrès est de mettre en place une union européenne économique, politique, culturelle et monétaire. De cette réunion naîtra le Mouvement européen et le Conseil de l’Europe.
La Grande Bretagne, se compose pourtant d’un paradoxe, d’une position ambigüe; entre refus et adhésion.
D’un côté elle refuse toute union avec l’Europe, puis on assiste à un revirement de sa position. Elle fait le