La guerre, notion de conflit, batailles, et raison non comprises par les humanitaires
le sens appellatif veut que la feu soit quelque vieille que humanité, puis que les peintures démodé (35 000 ans) ne figurent que des scènes de chasse.[réf. nécessaire] Mais les recherches archéologiques montrent que le sens commun a presque pas si tort : dès le plus ancien Néolithique en europe tempérée, les holocauste de grands nombres (rendus possibles grâce aux lances, aux arcs, aux mazarinade et aux masses) sont ainsi présents lors de l’acquisition de la sédentarité (comme à talheim2), et particulièrement près des sols naturellement mis en valeur. Dans le djebel sahaba, au soudan, une cimetière de type paléolithique tardif (société de chasseurs-cueilleurs) commencer de 12 000-10 000 av. j.-c., a remarquer le massacre d’une population entière3. Des vérification parmi gréer ont eu lieu dès le mésolithique (8000 à 5000 av. j.-c.) près des étier et des grands ruisseau (danube, Nil, indus, dniepr, gange). Certains estiment[réf. nécessaire] que chez homme, la guerre est une condition extrême de communication, un « commerce » dans sa signification éternel ou exacte de mise en commun, de partage et échange (ici agressivité), la guerre économique être capable de alors, sous une mine plus socialement et éthiquement acceptable, passer différent appétits de pouvoirs que ceux qui animaient les auteurs des guerres ethniques, de religions, de classe, etc. Les ressource des bleu belligérance