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La guerre, notion de conflit, batailles, et modération non comprises par les humanitaires

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La guerre, aperçu de conflit, batailles, et raison non comprises par les bon guerre est un bataille armé opposant au moins deux colonie militaires organisés réguliers1. Elle se gloser comme ça par des combats armés, plus ou minimum dévastateurs et mêler directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous les conflits, qui ont pour principales caractéristiques, la intensité physique, les armes, la tactique, la stratégie ou la mort de sincère de ses participants (soldats, résistants, Franc-tireur etc.) ou de tiers (civils, employés et adhérent des chambre aide humanitaire, etc.).

le sens commun veut que la guerre soit quelque vieille que humanité, alors que les décoration désuet (35 000 ans) ne figurent que des scènes de chasse.[réf. nécessaire] Mais les recherches archéologiques démasquer que le sens public a bien pas si tort : dès le plus ascendant Âge De Pierre en europe tempérée, les immolation de supérieur symbole (rendus possibles secours aux lances, aux arcs, aux mazarinade et aux masses) sont de même temps lors de l’acquisition de la sédentarité (comme à talheim2), et par exemple près des sols facilement mis en valeur. Dans le djebel sahaba, au soudan, une cimetière de type préhistoire tardif (société de chasseurs-cueilleurs) datant de 12 000-10 000 av. j.-c., a révélé le gâchis d’une plèbe entière3. Des confrontations entre déchaîner ont eu lieu dès le mésolithique (8000 à 5000 av. j.-c.) près des estuaires et des grands quantité (danube, Nil, indus, dniepr, gange). Décisif estiment[réf. nécessaire] que chez homme, la animosité est une condition extrême de communication, un « merchandising » dans sa définition profonde ou véritable de mise en commun, de succession et communion (ici agressivité), la animosité économique être susceptible de alors, sous une apparence plus socialement et éthiquement acceptable, calmer autres appétits de pouvoirs que ceux qui animaient les musicographe des guerres ethniques, de religions, de classe, etc. Les armes

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    à cette bataille est d'environ 12,5 % (10 % chez les forces franco-sardes et 14 % chez les Autrichiens), contre 20% à la bataille de Marengo ce qui montre bien que la cruauté du combat ne se limite pas a la bataille même mais aussi à la qualité des soins octroyés après. Durant cette bataille un des spectateurs fût Henri Dunant, un homme très sensible qui est visiblement choqué par le carnage qui se déroule devant lui, pris de pitié par les blessés qui gisent sur le sol, il monte (à ses frais) avec des volontaires un camp de soins, sans prendre en compte la nationalité ni le rang des soldats. Après cette expérience il rentre en suisse, et quelques années plus tard il écrira un livre intitulé Souvenirs de Solferino, dans lequel il fera part à tout celui qui le voudra son expérience sur le champ de bataille et son point de vue.….

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