La langue maternelle
1.Nostalgie de la France et de Paris
-le « que » de la 1ère phrase montre que le narrateur bouleverse ses habitudes de travail, il ne travaillait pas comme cela en France : changement d’un pays à un autre
-le fait que le narrateur passe le reste de sa journée à se reposer et à se promener montre qu’il profite de la vie à Athènes, ville qu’il découvre.
-son travail parisien semble réel ; le verbe « croire » accentue cette impression
-le narrateur dit explicitement qu’il semble se trouver « dans un lieu étranger » en arrivant. La Grèce est représenté métaphoriquement par l’appartement.
2.Le malaise athénien
-le narrateur se remémore le fait que, quand il a débarqué à Paris, il se sentait dépaysé : à présent, phénomène inverse se produit.
-la métaphore de la peinture s’appliquait à Athènes, elle s’applique maintenant à Paris
-lorsqu’il vivait à Paris, le narrateur a complètement oublié la manière de vivre grecque.
-le narrateur vagabonde dans les endroits connus de sa vie passée : il n’ose pas s’aventurer dans le reste de la ville =mal à l’aise
-il a besoin d’aide pour découvrir la ville = monde presque inconnu pour lui
-dernière phrase, ses pensées sont divisés : il n’est plus de Paris mais n’a pas de repères à Athènes =recherche de l’IDENTITE
II.Le début d’une nouvelle vie
1.Les relations sociales
-le narrateur renoue avec ses anciennes relations.
-il demande à Elias de lui repeindre son appartement : ceci est une métaphore de lui demander de lui faire redécouvrir son pays d’origine.
-les athéniens l’acceptent parmi eux, il est reconnu (double sens ) par eux : ils apprennent son nom sans qu’il sache comment.
-il découvre la ville avec Pénélope : référence à « L’Odyssée » d’Homère où Pénélope représente la fidélité (les anciens amis du narrateur ne