les poilus dans tranchées de Henri Barbusse
Je vais vous présenter un extrait de le Feu du journal d’une escouade du livre les poilus dans les tranchées écrit par Henri Barbusse en 1916 qui témoigne de la Guerre et qui s'inscrit dans l'art du langage.(mouvement artistique)
ce livre fut écrit pendant la 1er Guerre Mondiale en 1916 lors de nombreuses offensives qui vont se dérouler pour percé le front (zone de combats) comme la bataille de verdun qui se déroulera de Février à Decembre 1916 qui fera 500.000 ( cinq cent mille) morts .
Tout d’abord je vais débuter par vous faire la biographie D’Henri Barbusse né le 17 mai 1873 et mort le 30 aout 1935,était un ecrivain francais. A l’age de 41 ans avec des problemes pulmonaires, il s’engage en infanterie et rejoind les troupes combattantes en décembre 1914.Il ecrivit son 1er roman sur la 1er Guerre mondiale en 1916 : Le Feu.IL fonda et présida l’Association Republicaine des anciens combattants (ARAC).(Il adherera au Parti Communiste francais en 1923 et se lira d’amitié avec Lénine).
Un musé lui est dédié en sa memoir à Aumont en Halatte ( Oise).Henri Barbusse a vécu à la 1er Guerre Mondiale en tant que soldat. Dans cet extrait, il témoigne de son expérience.Le narrateur se trouve hors de la tranchée. Il observe depuis l’extérieur. Il est très tard dans la nuit, le jour est sur le point de se lever : « Le résidu de nuit s’accumule ». Le narrateur est rejoint par un compagnon d’armes qui se nomme « Paradis ». Le narrateur compare les poilus à des animaux.Les poilus sont des hommes revenus à l’etat sauvage : « je vois des ombres(…)masses enormes et difformes… ».Le récit est au présent a la 1er personne le narrateur est un narrateur interne car il parle a la 1er personne et est un personnage de l’histoire. Du langage familier est enployé comme cette phrase : « mon pauv’ vieux » = témoignage.Le champ lexical de l’humidité est très présent : « mouillé,suintant lavé … ».Les conditions de vie sont très difficiles mais il reste de la