I) La polysémie de la notion de liberté
Polysémie : plusieurs sens. La liberté est un droit et a une certaine valeur.

Réponses : 1) « Un pauvre est aussi libre qu’un riche » : il a les mêmes libertés qu’un riche. Ce n’est pas parce qu’on est pauvre qu’on n’est pas libre.

2) Liberté →de droit
→de fait →de vouloir (volonté) « libre arbitre » →libre arbitre pur : la pure volonté de choix contingente et indépendante de toute influence et de motivation. →sagesse. →de faire « capacité d’agir »

a) Liberté de droit et de fait.
Le fait désigne ce qui est, ce qui se produit réellement, et qui peut-être constaté.
Le droit désigne ce qui devrait être ou ce qui doit être en principe. Les lois disent comment les hommes doivent se comporter. Cependant tous les hommes ne respectent pas toutes les lois
Explication ligne 2 : Un esclave en droit n’est pas libre n’a qu’un seul droit celui d’obéir. L’esclave n’est qu’un instrument au service d’un maitre. L’esclave n’a pas le droit de décider par lui-même. L’esclave a la capacité de choisir de s’enfuir, de s’essayer de s’échapper malgré les conséquences de ses tentatives. Il accepte d’être esclave même à en renoncer sa liberté.

« Un sujet n’est pas entièrement libre. » Sujet → au sens psychologique, il désigne une personne. Sujet ≠ chose. → Au sens politique. Sujet ≠ citoyen. Désigne l’individu qui vit dans un régime politique dans lequel il subit la loi et le pouvoir sans participer, soumis à un pouvoir politique.

Démocratie indirect ou représentatif : le peuple ne se dirige pas lui-même, dans lequel ils étaient des représentants qui eux font la loi.
Nous n’avons pas le droit de tout faire : qu’on soit citoyen ou sujet.
Liberté de fait et de droit : il y a une différence.

« Le pauvre est aussi libre qu’un riche »
→en droit, sa suppose égalité parfaite et réel devant la loi
→Le pauvre a le droit de manger à sa faim mais il ne peut pas.

Il ne suffit