La mer noire, critique
La Mer Noire est composé d'une succession de chapitres racontés tantôt à la première personne tantôt à la troisième. Lorsque la narratrice s'exprime à la première personne, elle raconte sa vie depuis l'age de 15 ans jusqu'à environ 60 ans. Et lorsqu'elle parle a la troisième personne elle est alors une femme âgée et malade qui raconte la journée de son 90e anniversaire. Donc on passe d'un chapitre sur sa journée à un chapitre sur sa vie.
Chapitre sur sa vie: Dans les années 1920
Au début de l'histoire, la narratrice nous raconte qu'elle part de Tbilissi là ou elle habite pour aller passer les vacances d'été, comme chaque année dans la maison de ses grands-parents à Batoumi, avec tous ses cousins, ses parents et ses oncles/ tantes. Un jour seule, elle rencontre un garçon nommé Tamaz pour qui elle va éprouver un amour inconditionnel du début jusqu'à la fin de sa vie. A peine se connaissent-ils qu'elle et ses parents doivent déménager en France à Leuville car la père de Tamouna fait parti du gouvernement géorgien et qu'ils sont en plein combat pour l'obtention de l'indépendance de la Géorgie. Après quelques temps passés à Leuville, le père de Tamouna doit repartir en Géorgie pour son travail et son combat. Il disparaitra et on ne saura pas comment il est mort. Après, Tamouna sa mère et sa soeur apprennent que leurs cousins vont venir s'installer à Paris non loin de chez eux. Tamouna, passionnée par l'art abandonne ses études et ses croquis pour aller travailler et aider a subvenir aux besoins de sa sœur et de sa mère. Elle veut que sa sœur puisse continuer les études. Les années passent et elle apprend que Tamaz est de passage à Paris, ils se voient et elle apprend qu'il vit quelque part dans le sud de la France. Il repart et la prochaine fois qu'il se verront à paris la narratrice lui apprendra qu'elle a un petit ami ce qui va le rendre glacial. A chaque entrevue, les deux amants se montrent qu'ils s'aiment malgré que Tamaz soit marié. Tamouna