La mort du loup
Cette battue est comme un spectacle avec « sons et lumière ». Une atmosphère solennelle et grave est présente tout au long de cet extrait.
C’est un divertissement qui a crée le regroupement des villageois. L’idée pour les villageois et Langlois est de tuer le loup.
Au cours de cette folie, une vision pessimiste de la nature humaine est faite : les villageois sont grotesque, désorganisé ; et Langlois est énigmatique et est là pour tuer. Ce roman est un « roman d’apprentissage » : il apprend à se connaître.
Ce texte est comme une tragédie antique. Ce « spectacle » est comme une cérémonie.
Il y a de l’ambigüité dans le personnage de Langlois. Langlois est le véritable acteur principal : c’est l’actant  c’est lui qui mène, c’est lui qui tue.
Cette mort, de deux coups de pistolet, est fait de la même façon que pour M.V.
Nous pouvons voir que la mort permet de ne pas s’ennuyer. Le divertissement permet à l’homme d’être heureux.

«Monsieur »  personnification du loup.
Le loup est comme le miroir de Langlois  même personnalité : le loup tue les moutons dans le village et Langlois le loup, M.V puis plus tard, l’oie.
« Es t-ce que.. plateau ? » : phrase ? a une portée philosophique, sur la question de la mort.
Gradation : « porte » ; « portail » ; « l’arc de triomphe »  insiste sur le spectacle grandiose.
« l’arc de triomphe » : insiste sur le thème de la mort.
« ça » donne à l’écriture une proximité au lecteur, comme si cela était dit à l’oral.
« se placer au pied au mur, sans esquiver, ni de droite ni de gauche » : le loup fait face à son destin, sans détourner.
Emploi du présent de narration plonge le lecteur dans l’action même. De plus, se sont des verbes d’actions. L’adverbe « brusquement » montre la vivacité de l’action.
« derniers » ; « aire nue » ; « pied du mur » : tout est construit afin de mener jusqu’au thème principal de l’extrait : la mort.
L’extrait est mené en focalisation interne par les villageois « nous ».
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