La peau de chagrin, balzac, chap.1
Chapitre 1 : « Vers la fin du mois… son dernier écu. »
Introduction :
Œuvre atypie (= pas de genre littéraire déf.), influencée par le romantisme (solitude, expression des sentiments,..), le fantastique, l’orientalisme, le réalisme et l’autobiographique (nourrit par la vie de Balzac).
Présentation rapide du passage :
Description du jeu et du joueur type.
Beaucoup de réflexions du narrateur, effet descriptif à l’incipit. Inscription dans le genre réaliste et autobiographique avec « Vers la fin du mois d’Octobre », il nous situe dans le texte mais il nous manque seulement l’année.
Axes d’études :
1. Le texte répond-il aux 4 exigences de l’incipit ? - Les questions rhétoriques :
Qui ? « un jeune homme ». Balzac garde l’anonymat dans le début du roman.
Ou ? « Palais royal », à Paris.
Quand ? « Vers la fin du mois d’Octobre ». L’auteur ne nous donne pas de date fixe, mais situe quand même le narrateur dans la chronologie romanesque.
En outre, ce narrateur est omniscient et omnipotent, il sait tout et voit tout. Il est ce que Balzac appelle un « don de spécialité ». - Les rapports thématiques et/ou narratifs du texte.
L’univers magique du jeu, univers maléfique avec le titre du chapitre « Le talisman », qui est un objet sur lequel on grave des inscriptions, des vertus magiques de protection, de pouvoir ou bien en tant que porte-bonheur.
Il y a une relation avec le titre du roman La Peau de Chagrin : cuir grenu fait de peau de mouton, de chèvre ou d’âne. Depuis Balzac, peau magique qui orientalise, et symbolise les passions.
2. L’incipit balzacien ou l’utilisation des divers modes d’écritures. - Le récit : narration ultérieure. Narrateur situé après l’évènement, et le raconte au passé. - Le portrait : engagé par la comparaison du jeune homme et de l’homme des vestiaires.
3. Le « jeu » de hasard dans le texte.
La « loi » absence de liberté : on n’a plus le droit de se comporte comme on