Le monde est désormais déformé par les effets que crée la publicité, mais nécessaire pour les publicitaires, pour frustrer les consommateurs et les faires désirer de choses qu’ils n’obtiendront peut-être jamais. Idée : un bonheur de courte durée (la nouveauté ne reste jamais neuve

Dans un premier temps, les auteurs du corpus insistent sur le fait que les publicités sont utiles et répondent aux attentes de certains consommateurs.
En effet, Jean Claude GUILLEBAUD souligne un accomplissement du rêve par ses consommateurs du aux connotations que révèlent ces publicités fantasmatiques.
De plus, Jacques LENDREVIE et Bernard BROCHAND rappellent que l’idée de rêve est omniprésente dans nos publicités.
De même, Frédéric BEIGBEDER affirme que les publicités nous font miroitée l’incapacité à obtenir des biens que l’on désire.

Dans un deuxième temps, Jean Claude GUILLEBAUD évoque que les images propagées sont grandement aseptisées pour susciter une félicité ébahie.
Jacques LENDREVIE et Bernard BROCHAND pensent que l’embellissement de la réalité est un maquillage indispensable à notre société, mais ne sont que le reflet des stéréotypes des milieux qu’elle vise.
Ainsi, Fréderic BEIGBEDER dénonce que la pratique de mise en scène des publicités est standardisée et généralisée.
Enfin, les chiffres prouvent que la beauté n’est plus le seul critère principal attendu par les consommateurs.

En outre la publicité n’est pas que féerique, elle est aussi perçue pour certains comme une démarche négative. En effet, la plupart des consommateurs, à cause des représentations de la société manipulatrice peine à se situer dans celle-ci. Idée : Le consommateur peine à se situé dans la société du a une information transformée et