La rationalité du consommateur (sous partie)
1) Source de la rationalité.
Il faut afin de pouvoir posé l’hypothèse de rationalité exprimé trois lois sur les préférences. La première loi explique qu’il existe pour le consommateur une relation complète entre les différents biens, et donc que ce dernier peut à tout moment comparer un bien A à un bien B en en préférant un à l’autre ou bien en étant indifférent entre les deux biens.
La deuxième loi des préférences du consommateur nécessaire à l’explication de la rationalité du consommateur et la loi de la relation réflexive des préférences. C’est-à-dire que chaque bien est au moins aussi désirable, sinon plus, à lui-même. On dit plus communément qu’il est indifférent à lui-même.
Enfin la loi de transitivité exprime que si un bien A est préféré à un bien B et que le bien B est préférer au bien C alors le bien A est préférer au bien C. L’ensemble de ces trois lois forme l’axiomatique des préférences.
Cet axiomatique permet d’instauré un ordre entre les biens, et c’est cette notion d’ordre qui va permettre l’introduction de la rationalité en micro-économie. En effet si l’on exprime la rationalité comme le fait que le consommateur recherche une situation d’optimum alors il choisira, si il est rationnel, le ou les biens les mieux classés dans l’ordre de ces préférence.
2) Application de l’hypothèse.
L’hypothèse de rationalité du consommateur va notamment permettre grâce à l’ordre qu’elle implique l’introduction de l’élément mathématique. On va alors pouvoir calculée notamment une fonction d’utilité, et présenter des modèle de programme d’optimisation de l’utilité sous contrainte budgétaire.
Autre outils que la rationalité permet alors d’utilisé est le taux marginal de substitution. En effet avec l’ordre des biens et une courbe