Des le début de la réflexion sur la relation intellectuel/média, nous avons appris que ce statut n’existait qu’en France. En effet, il fut pour la première fois utilisé pendant l’affaire Dreyfus au XIXème siècle. Mais ce statut et donc cette relation paraissent tout de même évidents dans une grande partie du monde.
La recherche de 15 sources supplémentaires nous permis de comprendre les origines des intellectuels, mais aussi l’angle par lequel était perçu leur relation avec les médias. Adulés mais souvent critiqués, leur présence sur les plateaux télévisés, dans la presse ou à la radio est quotidiennement remise en cause. Certaine de leurs actions sont pourtant remarquable.
Une conclusion de fis rapidement : certains intellectuels paraissent aujourd’hui extrêmement médiatisés. Nos recherches se sont donc tournées sur le pourquoi de cette médiatisation focalisé sur certaine personne et sur la nature d’un éventuel control. Bernard-Henry Lévy apparut directement, pour nous, comme l’intellectuel le plus emblématique du XXIème siècles, connut du grand public.
Lors de la réalisation des 3 premières interviews cette idée se confirma. En effet, chaque personne interrogée nous parla spontanément de BHL.
Une autre idée général s’était crée dans l’esprit du groupe : le control des idées est beaucoup plus important en Chine ou en Corée du Nord qu’en France. Ces deux pays, étaient pour nous, les meilleurs exemples de la répression intellectuelle. Mais lors de l’interview de Natasha Jakobsen, une vision différente s’imposa. En effet, à la question « Selon vous dans quel pays cette relation est-elle la plus contrôlée par les politiques et / ou les médias ?
 » sa réponse fut les Etats-Unis. Un pays auquel nous n’avions pas pensé.

A la consigne de réaliser 3 entretiens avec des personnes médiatiques, notre réflexion quant au choix des personnes se porta sur des personnes travaillant plutôt dans la sphère des médias. Nous voulions, par le biais de ces entretiens, comprendre