La religion

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EE: “La religion”

Pour moi, la religion est quelque chose incompréhensible. Moi-même, je ne crois à rien. En fait ce n'est pas tout à fait vrai. Je simplement ne pas crois en Dieu.

Quand je regarde ce monde, je ne peux pas croire en Dieu. Qui dans le monde ne ferait rien à tous la misère car il était en mesure. Et je pense vraiment que Dieu est plutôt une lubie de l'homme. Le ciel aussi.

Gens ont juste besoin de quelque chose à se replier sur. Il est beaucoup trop difficile pour les gens de voir que les gens qu'ils ont perdu de façon efficace. Il est beaucoup plus rassurant dans un sens, si vous savez que votre bien-aimée est au «ciel» . Comme un homme en détresse, il est difficile de comprendre que rien vous pourriez sauver. Mais alors les gens peuvent obtenir de l'aide à partir, par exemple: prier, méditer, ... et donc la religion est bonne pour (certains) des gens.

Mais quelque chose en moi me dit que je dois penser à des choses comme la religion et toute ma réflexion sur les questions de la vie je suis venu à cette vision. Je ne veux pas suivre le flux et juste dire que je ne crois pas parce que c'est des conneries. Parce qu'en fait, la religion n'y a plus de conneries, il est savamment trouvé. Mais la personne qui a la foi "inventé" ne pensait pas des conséquences.

Non seulement dans les pays musulmans, la religion est exploitée à des fins maléfiques, chez nous c'est aussi le cas. Et ça rend la religion si

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Est-il encore permis d'avoir le doute ?
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Est- ce la tare de l'humanité ou est- ce notre société mondialisée, égoïste , injuste, inégalitaire, aveugle et cupide qui la défigure en réduisant à néant ces valeurs que prétendent nous apporter toutes les religions, auraient-elles, sur notre société l'effet d'un emplâtre sur une jambe de bois ? Au fond de moi , je ne le pense pas . Mais les faits sont là, pour nous ramener à la dure réalité . Ces religions doivent -elles repartir dans des conquêtes sanglantes au nom d'une foi qui ne peut en être une, si elles n'incarnent plus ce qui….

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à se moquer de la religion en utilisation l’ironie de la situation. Durant cette balade, Sganarelle, habillé en médecin, se permet de disputer son maitre. Il montre une assurance en lui comme si sa tenue pouvait changer son statut social. En effet, celui-ci se permet de lui poser beaucoup de questions à propos de religion mais aussi sur ce qu’il se passe après la mort. Il cherche à persuader son maitre par des propos par lesquels il s’implique, il utilise par exemple « pour moi », « je vois », « je comprends » ou encore la première personne «….

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Travail d'analyse sur montaigne
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Pour ce faire, il s’intéresse à la religion comme il s’intéresse à plein d’autres choses, dans le sens où il ne porte aucun jugement avant même de savoir de quoi il en est. Il sait qu’il existe plusieurs formes de religion et que malgré le fait qu’elles ne soient pas aussi reconnues que le catholicisme, elles apportent tout autant de choses à ceux qui la pratiquent que sa religion lui en apporte. Il est aussi conscient que personne ne décide dans quelle religion il sera. Autrement dit, tout est relatif à la culture transmise; c’est le hasard de la naissance. Comme il est dit dans Montaigne, «Nullement gêné par son conservatisme pratique, Montaigne garde un esprit extraordinairement ouvert à toutes les formes de religion.….

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Le sultan
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Car, en quelque religion qu’on vive, dès qu’on en suppose une, il faut bien que l’on suppose aussi que Dieu aime les hommes, puisqu’il établit une religion pour les rendre heureux ; que s’il aime les hommes, on est sûr de lui plaire en les aimant aussi, c’est-à-dire en exerçant envers eux tous les devoirs de la charité et de l’humanité, en ne violant point les lois sous lesquelles ils vivent. On est bien plus sûr par là de plaire à Dieu qu’en observant telle ou telle cérémonie ; car les cérémonies n’ont point un degré de bonté par elles-mêmes ; elles ne sont bonnes qu’avec égard, et dans la supposition que Dieu les a commandées ; mais c’est la matière d’une grande discussion : on peut facilement s’y tromper, car il faut choisir les cérémonies d’une religion entre celles de deux mille. 5 10 15 32 Devoir 02-FR10-10 Un homme faisait tous les jours à Dieu cette prière : « Seigneur, je n’entends rien dans les disputes que l’on fait sans cesse à votre sujet ; je voudrais vous servir selon votre volonté ; mais chaque homme que je consulte veut que je vous serve à la sienne. Lorsque je veux vous faire ma prière, je ne sais en quelle langue je dois….

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Depuis de nombreuses années, le Québec démocratique est une société exemplaire de valeurs distinctes et d’intérêts communs, ce qui fait de cette province un endroit idéal pour immigrer. Ces valeurs importantes sont reflétées par des lois constitutionnelles. Alors que ces valeurs sont partagées, elles imposent pour les nouveaux arrivants des contradictions sur le plan de l’intégration à notre société. Le refus d’intégration d’un….

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Mais le moyen le plus sûr pour y parvenir est sans doute d’observer les règles de la société et les devoirs de l’humanité. Car, en quelque religion qu’on vive, dès qu’on en suppose une, il faut bien que l’on suppose aussi que Dieu aime les hommes, puisqu’il établit une religion pour les rendre heureux ; que s’il aime les hommes, on est sûr de lui plaire en les aimant aussi, c’est-à-dire en exerçant envers eux tous les devoirs de la charité et de l’humanité, en ne violant point les lois sous lesquelles ils vivent. On est bien plus sûr par là de plaire à Dieu qu’en observant telle ou telle cérémonie ; car les cérémonies n’ont point un degré de bonté par elles-mêmes ; elles ne sont bonnes qu’avec égard, et dans la supposition que Dieu les a commandées ; mais c’est la matière d’une grande discussion : on peut facilement s’y tromper, car il faut choisir les cérémonies d’une religion entre celles de deux mille.….

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La religion peut-elle se définir par sa fonction sociale ?
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La religion représente à première vue un système de croyances, comme l’existence de divinités. Depuis des siècles, les peuples se sont référés à de multiples fois et de multiples Dieux. La religion est en effet un caractère qui se situe hors de portée de l’expérience et de la pensée humaine. Les croyances trouvent tout d’abord origine dans la conscience de l’homme.….

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Est-ce faiblesse que de croire ?
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Est-ce faiblesse que de croire ? Voila une question qui paraît pour le moins insoluble. Cependant dés que l’homme commença à avoir des raisonnements quelques peu construits, il se mit à ¨croire¨ à des choses variées que ce soit de l’existence d’une entité supérieur, d’une vie après la mort ou simplement des plus grandes possibilités d’un groupe unis autour d’une cause commune plutôt qu’une seule personne.….

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Philosophie: l'homme est-il religieux naturellement ?
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Ensuite, nous sommes dans un cours de religion alors quel sujet serait mieux adapté qu’imaginer un monde sans religion ? Si je devais tirer des intérêts de cette utopie, ça serait de pouvoir profiter d’une paix, et d’une sérénité dans la vie de tous les jours. Ne pas être inquiet de subir les revers de certains comportements ou opinions sur des idées. Plus de tolérance, acceptation de l’autre et qu’il ni aie pas de raison d’écarter certaines personnes. Mes condisciples peuvent être intéressés par ce travail dans le sens ou c’est un sujet bien souvent tabou autour duquel on parle rarement.….

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