La science et le progrès
La science peut être considérée dans une première approche, comme l’explication des faits et des phénomènes de la Nature, et le progrès de celle-ci, comme l’accumulation de connaissances scientifiques. Tout au long de l’histoire, la science a su grâce à son développement, apporter le progrès à l’homme. Que ce dernier soit, scientifique, technique ou bien matériel, il a permis à l’homme de vite s’affranchir des contraintes que la vie lui impose. Si dans un premier temps, la science et le progrès, ont tous deux une connotation positive ; cela n’a pas empêché l’apparition de crises aiguës, traduite par une certaine remise en cause de la science, voire même d’une certaine « peur scientifique ». Mais, la science et le progrès, ne sont que de simples outils à la disposition de l’homme, lequel peut les utiliser à sa guise. La bonne utilisation de ce dernier est donc primordiale pour le bon développement du progrès et de la science. Ainsi, la science et le progrès semblent indissociables, mais pour autant, la science constitue-t-elle toujours un progrès pour l’homme ? Si, la science s’avère bénéfique pour l’humanité malgré quelques remises en cause, c’est surtout l’utilisation que l’homme fait de cette dernière qui est primordiale, pour savoir si elle constitue un progrès ou non.
En remontant un peu dans l’histoire, nous comprenons que la confiance dans la science, comme facteur de progrès pour les hommes, fut à certaines périodes confortée, mais d’autre confrontée à des moments de crise. Ainsi, tout au long des siècles, le rôle de la science fut un sujet plutôt ambigu. Dès la préhistoire, la science et le progrès jouent un rôle moteur dans le développement de l’homme et de la vie en société. Dans un premier temps, avec les découvertes des premiers outils, comme le silex (qui a permis notamment la création du feu), marquèrent l’avènement des découvertes scientifiques et du progrès technique. Ainsi, au fur et à mesure du temps