La situation : fonction des besoins de l’être humain et l'ntelligence artificielle
ET DE SCIENCE HUMAINE (ISPSH) TRAVAIL-LIBERTE-PATRIE DON BOSCO-LOME 2011-2012
Master philosophique- semestre I
PHILOSOPHIE DE l’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
Exposé de l’œuvre de Dreyfus H., « Intelligence artificielle : mythes et limites », Paris, Flammarion, 1984.
Chapitre XI / La situation : fonction des besoins de l’être humain
PRESENTE PAR PROFESSEUR
SOMABE Kokou K. Mawusse kpakpo AKUE ADOTEVI
Dans un contexte pragmatique, le monde est une création humaine, selon Dreyfus. Après avoir décris dans les chapitres précédents ce monde, et montré comment il (monde) nous permet de fixer directement notre attention sur les objets significatifs qu’il contient, Dreyfus avance que « ce champ de notre expérience se structure en fonction de nos tâches qui sont liés à nos desseins, lesquelles à leur tour correspondent aux désirs et aux besoins collectifs et individuels de ceux dont l’activité a donné naissance à ce monde.» (p.351)
Cette fois ci, Dreyfus se pose la question « que déduire de tout cela quand à la possibilité de l’intelligence artificielle ? ».
C’est pour répondre à cette question qu’il aborde les points suivants : les objectifs humains et les fins de la machine, la conduite intelligente fondée sur la fonction d’utilité, l’analyse phénomélogique et physiologique de l’homme dans la conduite intelligente, révolution conceptuelle, Enjeux sociétaux de l’intelligence artificielle I- Les objectifs humains et les fins de la machine Pour Dreyfus, les difficultés que présente l’analyse fin /moyen, même simple suggère que même pour des problèmes bien structurés,