La température et la moisissure
Remarque:
À partir du douzième jour, pour l’expérience 3, que le morceau de pain c'est durcit et il est devenu sec. Pour l’expérience 2, à partir du dixième jour, le pain à commencé à ce durcir et a glacé. (Voir Photos Annexe)
Analyse:
Pour l’expérience 2:
Le troisième jour on peut observer une très légère augmentation de la surface de moisissure, nous avons donc décidé de prolongé l'expérience pour voir si le développement se prolongé. Le septième jour la moisissure a encore subit une augmentation de sa surface mais très faibles. Le dixième jour il n'y avait aucun changement, la moisissure n'a pas augmenté. Nous avons alors laissé l'expérience encore onze jours, nous somme retourné voir celle-ci deux fois pendant cette durée et le vingt et unième jour nous avons stoppé l'expérience car celle-ci n'a pas évolué depuis le septième jour.
Pour l’expérience 3:
Le troisième jour, la surface de la moisissure c'est très légèrement agrandi mais pas assez pour en tiré de quelle qu'on que conclusion, le septième jour la surface de la moisissure c'est aussi développé très faiblement. Et jusqu'au vingt et unième jour la tâche est depuis resté de même superficie et n'a pas changé. Interprétation:
L’expérience 2:
Elle nous montre qu'à une température très basse, les moisissures ne peuvent pas se développé. Dans la vie de tous les jours, le froid permet la conservation de nombreux aliments puisque les bactéries qui forment la moisissure ne se développent pas.
Pour l’expérience 3: On remarque que les moisissures augmentent faiblement avec une température supérieure à 40°C, on sait que au-delà de 100°C les moisissures on même tendance à être détruite. On utilise ceci pour, par exemple stériliser certains