La tolérance
Tolérance dans son sens le plus général, la tolérance du latin « tolérare » (supporter), désigne la capacité à accepter ce que l’on désapprouve, c’est-à-dire ce que l’on devrait normalement refuser.
Au sens moral, la tolérance est la vertu qui porte à accepter ce que l’on n’accepterait pas spontanément. Par exemple lorsque cela va à l’encontre de ses propres convictions.
La tolérance est le respect, l’acceptation et l’appréciation de la richesse de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d’expression et de nos manières d’exprimer notre qualité d’être humain.
Elle est encouragée par la connaissance, l’ouverture d’esprit, la communication, la liberté de pensée de conscience et de croyance.
La tolérance est l’harmonie dans la différence.
Pour moi, l’homme est tolérant, sur ses actes, ses principes, ses idées. Là où le bas blesse, c’est que l’homme dans son désir de perfection, voudrait qu’autrui soit comme lui, qu’autrui adopte les mêmes comportements, agisse de la même façon.
Seulement chaque être est unique et à partir de cela, l’homme doit faire l’effort de s’adapter, accepter l’autre tel qu’il est avec ses défauts et ses qualités, ses différences qui peuvent être sexuelles, ethniques, culturelles, cultuelles, politiques ou sociales.
Pour se faire, l’homme doit effectuer un travail sur lui-même et trouver un compromis acceptable.
Pourquoi acceptable ? Parce que je crois que chaque être humain à des limites et des seuils de tolérance.
Peut’on ? Doit’on tout tolérer?
Je ne pense pas. Il est des raisonnements, des pratiques, des actes qui ne peuvent être accepter parce qu’ils sont négatifs, néfastes.
Toute la question est de savoir à partir de quels moments ils peuvent être considérés comme tels.
Il est évident que le racisme, le fanatisme, le terrorisme, l’exclusion, la faim dans le monde sont intolérables.
La tolérance doit être pratiquée par les individus, les groupes et les états.
Elle est