La traduction juridique

319 mots 2 pages
L’action de traduire s’exprime par le transvase des mots et du sens d'un texte en langue source à une langue cible.
La compréhension du contenant et du contenu du texte en langue source en les pondérant finement et de les reproduire sur le texte en langue cible est une obligation pour le traducteur.
La langue de droit est une langue de spécialité en intégrant la mission de rechercher des solutions pour traduire les textes juridiques.
L'auteur alors dans la première partie décrit cette problématique générale en la situant dans le phénomène de la polysémie qui véhicule le vocabulaire juridique. L’existence parfois des contraintes autres que l’obéissance linguistique comme par exemple l’objectif politique qui met l’accent sur la portée des mots. Leur usage mis en relief dans son contexte peut faire devenir le langage courant en spécialisé.
Le droit en tant que système juridique qui passe à un autre sytème, transmet aussi d'autres valeurs, d'autres coutumes ou d'autres traditions ce qui parfois reproduit des lacunes de correspondance dans les concepts et notions. Cette spécificité du langage du droit pose des problèmes au traducteur car les mots comportent des effets juridiques qui doivent eux aussi être correctement traduits dans le texte cible.
Dans la deuxième partie l'auteur nous parle de l'art et les techniques de l'équivalence se rapportant à la traduction littérale et à la traduction libre dont leur souci demeure atteindre l'équivalence des deux textes.
Néanmoins le résultat n'est pas de traduire pour soi-même, sinon obtenir un texte traduit pour faire comprendre à autrui. C’est pourquoi le juge dit toujours le "droit" tandis que le traducteur dit " le texte" de droit. Seul le pouvoir étatique décide l'équivalence du texte original et de la traduction.
L’auteur remarque finalement qu’une traduction est avant tout une hypothèse dite par le traducteur qui par ailleurs devra acquérir les compétences d'un juriste de droit comparé et

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