La troisième république, de 1870 à 1879, une république non-républicaine
Résumé des preuves
8 février 1871; les premières véritables élections de la Troisième République ont lieu, les royalistes remportent 400 des 640 sièges disponibles. Une majorité royaliste, qui veut le retour d’une monarchie, mais qui se divise entres orléanistes et légitimistes, entre une monarchie parlementaire ou absolue. Par après, le 17 février 1871, Adolphe Thiers, un orléaniste, est nommé chef de l’exécutif de la République française, et s’entoure d’orléanistes. Il n’est donc pas en faveur d’une République pour l’instant, malgré qu’il ait inclut ce mot dans sa fonction. On lui donne non-officiellement les pleins pouvoirs pour qu’il règle le problème de la Commune, qu’il règlera dans la violence du 22 au 28 mai de la même année, et afin qu’il signe une paix avec la nouvelle Allemagne. Le 8 juin 1871 on abroge la loi de 1830 forçant les Bourbons à l’exil. Geste fait pour amener plus de royalistes en France, pour contrer encore plus les républicains. Par après, le 31 août 1871, création de la loi Rivet, qui fait que Thiers devient officiellement président de la République. La loi prévoit aussi que Thiers aura ce boulot jusqu'à « la fin des réformes de l’Assemblée », ce qui peut vouloir dire, qu’il dirigera jusqu’à ce qu’il décide de ne plus