La vengeance dans Shakespeare
Jan Kott, Shakespeare notre contemporain. Burglogh , rassemble toutes les sources sur Hamlet. Saxo-Gramaticus, Historia Danica XIIème puis publié au XVé, raconte les histoires de Amlet, personnage qui feint la folie pour venger son père. Perso // : Horatio, Ophélie, Polonius (l’ami du roi), les deux serviteurs qui excortent Hamlet puis duel final. Shakespeare n’invente donc pas grand-chose en terme de génése. Mais ici, vengeur action, livre d’action, a. feint la léthargie. Pas de fantôme ni de Laërte, ni de Fortinbras, ni de pièce dans la pièce chez SG. Action mise sur la succession des meurtres et sur le massacre final au cours duquel A. saoûle la cours et enflamme le tout. Accent mis sur divers aspects. 2ème source majeure : Belleforest : histoire tragique publié en 1582, où l’on trouve l’adultère de la mère et la mélancolie du héros. Possibilité que Tom Kyd ai écrit un Hamlet mais que l’on a perdu, par la troupe du Chambellan, qui aurait été acheté par la troupe de Shakespeare et révisé.
Dans la tragédie de la vengeance(Sénéque) : la vengeance d’un père, la mission pour cette vengeance est confié par un fantôme qui cris vengeance, une situation domestique complexe, compliqué par un problème dynastique, et avec un meurtre final sensationnel avec des meurtres intermédiaires.
Personnage type = celui du vengeur contre le méchant (forme de Machiavel secondé par des traitres d’appoints, Laërte/Rosencrantz..) Contentum = Fait de mépriser le monde, que l’on voit notamment dans les monologues. Dimension sensationnel de l’action : mort violente, fantôme, combat dan une tombe, duel, suicide, poison…
Elements hérités aussi de la Revange Tragedy : tensions et ambigüité. La vengeance est à la fois un devoir et un pêché. Vengeance indispensable au repos du fantôme. Dans l’épître romain (XII.XIX) « Vindicta mii », à moi la vengeance. Shakespeare intoduit une 2ème ambiguité, sur la nature du fantôme : soit agent divin en quête de