B/ Les autres dangers et contestations :

1) l’échec d’un désarmement négocié.

2) L’altermondialisme s’exprime face à l’échec d’un ordre mondial équitable.

- Mouvement né à Seattle en 1999 à l’occasion des manifestations contre l’OMC - Il prend forme en 201 avec l’organisation du « forum social mondial » organisé à Porto Alegre au Brésil et qui réunit surtout des syndicaliste et des militants d’ONG humanitaires qui tentent de réfléchir à une autre mondialisation. - Il s’engage : à favoriser le développement durable face au modèle libéral considéré comme destructeur d’environnement et de ressources. : à tenter de trouver des solutions pour réduire les écarts de développement entre les populations, dans le but de limiter les risques de tensions internationales (dues aux grandes différences économiques et sociales dans le monde). : à rechercher de nouveaux moyens de gouvernance internationale, c'est-à-dire une autre méthode pour décider à l’échelle internationale. - en janvier 2009, s’est tenu un autre Forum social mondial (à Belèm) ce qui montre que la cause altermondialiste reste d’actualité.

3) Des critiques face à la toute-puissance étasunienne. (voir doc 4 p 145)

- l’unilatéralisme défendu par les Etats-Unis entraine un certain antiaméricanisme. - Depuis l’Europe (France, Allemagne), mais aussi ailleurs dans le monde, notamment dans les Pays en Voie de développement, les prises de position des Etats-Unis au plan international suscitent des réactions de méfiance et / ou des critiques. Par exemple, dans la crise économique commencée en 2008, la responsabilité américaine a été clairement affirmée. - Dans le monde, certaines associations économiques régionales s’organisent et tentent de contrebalancer l’influence des Etats-Unis ; c’est ce qui s’est passé avec le Mercosur latino-américain qui a conduit à l’échec (provisoire ?) de la constitution de la « Zone