la vie heureuse
À mesure que vous glissez sur la rivière de la vie, vous vous rendez compte que si vous ne pagayez pas, votre canot n'avance pas.
Il n'est jamais trop tard pour être celui que vous auriez dû être.
Il est préférable de poser certaines questions plutôt que de connaître toutes les réponses.
Gardez, au fond de votre coeur, un endroit secret où vos rêves se réfugieront.
La vie, c'est ce qui se passe quand vous êtes en train de faire d'autres plans.
Choisissez des batailles assez importantes pour qu'elles en vaillent la peine, mais assez petites pour que vous les gagniez.
Il est très difficile de faire la distinction entre les ponts qu'il faut brûler et ceux qu'il faut franchir.
Nous avons accès à la corde de la vie après en avoir défait les noeuds.
De tous les mots mélancoliques, qu'ils soient dits ou écrits, les plus tristes sont ceux-ci: "Cela aurait pu être."
Si le monde vous semble froid, allumez vite un feu pour le réchauffer.
Il y a deux façons de répandre la lumière: être la chandelle ou le miroir qui la reflète.Sénèque commence par montrer que le chemin de la foule n'est pas le bon, autrement dit, qu'il ne faut pas se fier à la masse des hommes pour comprendre ce qu'est le bonheur. La foule, le pire interprète de la vérité. En effet, les hommes se fient trop souvent à l'apparence, et non à l'essence des choses : ces choses exposées aux yeux et devant lesquelles on s'arrête, que l'on montre l'un à l'autre en s'ébahissant, paraissent brillantes à l'extérieur, mais sont misérables à l'intérieur. Puis Sénèque cherche à définir ce qu'est le "souverain bien". Celui-ci réside dans l'accord avec la nature : ne pas s'en écarter et se modeler sur sa loi et son exemple, c'est cela la sagesse. Il faut savoir accepter les sorts de la Fortune, qu'ils soient bons ou mauvais : user les biens de la