La vérité

616 mots 3 pages

La correction apportée par Maary
Toute vérité doit-elle être prouvée? Tel est le sujet que nous nous proposons de traiter. Tout d'abord, il semble nécessaire de définir ce qu'est la vérité, il s'agit de l'adéquation d'une représentation et de son représenté. autrement dit, c'est la conformité de ce que l'on pense et de ce que l'on dit d'une chose. Puis expliquons l'adjectif "prouvée" qui laisse entendre que la vérité devrait être soumise à une démonstration soutenue par des preuves incontestables avant d'être admise comme telle. Quant au verbe devoir, il implique une obligation pour l'Homme : " Est-ce une obligation logique ou morale -est-il raisonnable- pour l'Homme de n'admettre comme telles que les vérités qui ont étés préalablement prouvées? Nous allons d'abord étudier le fait que certaines vérités peuvent s'imposer d'elles-mêmes, puis nous verrons que toute vérité doit être prouvée.

Si l'on considère comme vérité les faits en lesquels on croit, on peut alors affirmer que certaines vérités s'imposent d'elles-mêmes.
En effet, lorsqu'on est confronté à une évidence, on ne la remet pas en cause, on y croit. Par exemple quand je dis : " Le ciel est bleu.", je n'ai pas besoin de le prouver ; mes sens, en l’occurrence la vue en témoignent. Certaines choses semblent aller de soi et il serait superflu d'en donner une preuve. Pourquoi devrait-on prouver ces vérités qu'il ne me semble pas possible de remettre en cause?
De plus, il semble bien qu'un énoncé puisse être vrai sans être prouvé, prenons deux propositions totalement contradictoires : "Dieu existe", "Dieu n'existe pas.". L'un de ces énoncés est forcément vrai on est forcé d'y croire même sans avoir de preuve que celui qui reflète la vérité est vrai. Mais surtout, à quoi bon prouver la vérité si parfois les preuves apportées la fausse? Prenons l'exemple du syllogisme : "-Un cheval bon marché est rare
-Tout ce qui est rare est cher
-Un cheval bon marché est cher."
Ici on constate que malgré les preuves

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Tu verras..", ce qui appel à l'expérience, à la connaissance empirique défendue par l'auteur, ces deux mots permettent à Lucrèce d'annoncer son raisonnement, comme si à la fin de sa lecture, le lecteur partagera la même opinion que l'auteur. De plus, Lucrèce parle, plus loin, des sens, "premiers à nous avoir donné la notion du vrai", ces mots font appel à la mémoire de l'Homme sur son origine, en effet, depuis la naissance de l'Homme, celui-ci s'est toujours fier à son instinct et à ses sens pour survivre et pour posséder la notion de vrai, or l'Homme a survécu, ce qui montre que les sens apportent bel et bien la vérité. Ici, le terme "notion de vrai" se rapporterait au rapport entre ce que l'on dit, pense et surtout, ressent avec la réalité. La fin de sa phrase, "ils ne peuvent être convaincus d'erreur" appui l'idée que les sens sont la première et seule partie de lui sur laquelle l'Homme peut compter.….

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C'est encore une journée qui commence dans une routine anormale. Une journée qui se termine plus rapidement que ce qu'elle n'a commencé. Une retribution qui ne demande qu'a s'achever. Je songe a une autre journée banal ou rien d'extraordinaire n'arriverai. Perdu dans mes sombres pensées, je rencontre un probleme.….

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La vérité est souvent associée avec la réalité, qui dans certains cas peut s’avérer juste, mais il faut garder en tête qu’il y a plusieurs sortes de vérité. La vérité absolue est incontestable dans n’importe quelle situation. Le fait de mentir peut être considéré comme une vérité pour celui qui l’entend, c’est donc une fausse vérité. La vérité qu’on ne veut pas croire car elle est soit dure à entendre soit difficile à comprendre est en parallèle avec le mensonge, on se ment à soi même. Tout ces exemples nous amènent à la question suivante : Toute vérité a-t-elle deux visages ?….

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Y a t il de bons préjugés ?
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L’homme du préjugé n’est pas irrationnel, l’adhésion de sa volonté à une idée, par quoi elle est tenue pour vraie repose bien sur une preuve, ou du moins ce qui se donne pour tel. Pour avoir une certitude, il faut bien posséder un critère de la vérité ; mais ici ce critère est extérieur au jugement et indépendant de lui. La vérité dépend moins de ce qui est jugé que du lieu d’où ce jugement émane. Il existe ainsi deux types d’arguments qui sont ici à l’œuvre pour fonder la certitude propre au préjugé….

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Par exemple, dire qu'il fait jour (quand il fait jour) ou bien il pleut (quand il pleut), ce n'est pas dire quelque chose de faux mais ce n'est pas dire une vérité. C'est constater une réalité et rien de plus. Cela tourne à l'absurde car on a un propos qui se tourne vers lui-même. La vérité est de l'ordre d'un discours (et non d'une constatation) dans lequel ce qui est dit n'a de sens qu'en fonction d'une mise en relation qui constitue un jugement. Par exemple, un vrai Van Gogh est un tableau dont il est juste de dire qu'il a été peint par Van Gogh et n'est donc pas une imitation.….

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La tradition philosophique a distingué 4 critères de vérité. Conséquences : rupture de confiance. I- Quel est le critère de vérité ?….

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I/ Prison du XIX : une conception animale • Bien que la période de la Terreur n'en donne pas l'impression, la Révolution française a été fortement marquée par les protestations de Lumières (Montesquieu, Rousseau, Voltaire, les Encyclopédistes et surtout Beccaria) contre l'arbitraire et l'inutile cruauté de la législation pénale d'Ancien Régime. • C'est pourquoi le Code criminel de 1791 établit la privation de liberté comme peine de droit commun (la plus cruelle des peines pour un citoyen libre), mais en lui ajoutant la peine de mort (humanisée par la Guillotine égalitaire : les nobles ne seront plus les seuls à être décapités), d'autres peines physiques (travaux forcés dans les prisons, les ponts et arsenaux, les mines ou l'assèchement des marais), des peines politiques (déportation) ou/et infamantes (dégradation civique). L'idée d'amendement ou de rééducation apparaîtra, au moins dans le vocabulaire, avec le Code pénal napoléonien de 1810 qui faisait référence à des peines correctionnelles. • Faire de la prison, la peine de droit commun,….

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LA VERITE La vérité se présuppose toujours d’elle-même (supposé vrai sans vérification). La vérité chez Heidegger : La définition traditionnelle de la vérité est la suivante: la vérité consiste en l’accord de l’intelligence avec la chose, en l’adéquation du jugement avec son objet.….

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De plus, il semble bien qu’un énoncé puisse être une vérité sans être prouvé. « Dieu existe », « Dieu n’existe pas », voici deux énoncés contradictoires : nécessairement l’un est vrai et l’autre faux. L’un est une vérité même s’il n’a pas été prouvé. Simplement, je ne sais pas lequel.….

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La vérité
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ce moment-là. Ce cours sur la vérité opère aussi une espèce de transition entre les notions que nous venons de traiter, qui portaient sur la relation psychologique du sujet au monde et sur quelques manifestation culturelles majeures, et les notion plus techniquement et spécifiquement liées à la connaissance. En effet, la vérité n’est pas une notion qui imite à la question des méthodes et procédures propres à tout travail rigoureux, scientifique ou non, qui cherche à atteindre la vérité. La vérité comporte aussi aspect psychologique et,….

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