Dans une première partie, nous allons voir que la famille de l'autrice et les paysans en général vivent dans une opulence relative. En effet, nous verrons qu'ils vivent dans une opulence mais qu'ils "comptent" beaucoup les choses, ce qui rend cette opulence relative . Dans un premier temps, on peut considérer que la famille d'Annie arrive à vivre dans l'opulence car ils possèdent énormément d'objets (dû au fait que c'est l'époque des 30 glorieuses et qu’il y a une véritable révolution industrielle et que plein d'objets sont inventés et produits en masse, ce qui permet le fait que ces objets soient moins chers et qu'ils soient accessibles par plus de monde). En effet, dans le texte il y a énormément d'objets comme nous le montre l'énumération « gommes et taille crayons, chaussures d’hiver fourrées, chapelet et missel vespéral romain »De plus, l’innovation est une chose importante pour eux « personne dans la famille ne l’avait jamais été ». …afficher plus de contenu…

De plus, ils ont été très énervés quand Annie à déchirer sa robe ; et ils l'ont disputée sans même lui demander si elle avait fait exprès « soudain, ma robe s’accroche par la poche à la poignée du vélo, se déchire » La personnification de la robe (« se déchire ») montre l’importance des choses, qui est ensuite suivi d’une exagération « drame » « cri », ce qui donne un coté extrêmement dramatique a la chose alors que de base c’est juste une robe : la réaction des parents est disproportionnée.De plus, à cette époque Annie était très jeune pourtant son père dit « elle ne compte rien », alors que c'est qu'une enfant et qu'elle ne devrait pas avoir à compter, ce qui appui mon propos sur le fait qu’ils comptent énormément les choses.On sait que cette opulence est relative car les voisins sont tous jaloux entre eux, voir un peu hypocrites « voulaient surement nous empêcher de posséder ce qu’il possédait déjà eux », « elle parlait ainsi par politesse », car les choses sont un moyen