La théorie de la firme japonaise
Les limites Conclusion Ce chapitre intitulé Information, Incitation et Contrats : La Théorie de la Firme Japonaise développé par Masahiko Aoki, porte sur la théorie de la firme japonaise en comparaison avec les approches évolutionnistes présentées au chapitre 4 du même ouvrage où la théorie de la firme japonaise présente quelques ressemblances, mais beaucoup de …afficher plus de contenu…
Les managers disposent donc d'un pouvoir effectif dans la conduite des affaires. Ce système est qualifié de WDIR « weak decision / incentive ranking » c'est-à-dire faible pouvoir de décision / forte incitation3. Le principe du double contrôle :Ce principe a trait au partage du pouvoir général entre les différents centres de décisions qui composent la firme. Les décisions des managers sont soumises alors au double contrôle, celui des actionnaires ainsi que celui des salariés, et le management agissant comme médiateur de ce double intérêt contrairement à la forme H, qui est soumise principalement au contrôle des actionnaires. En effet, Aoki considère que les salariés représentent un actif spécifique dont la firme doit maintenir la cohésion et s'attacher à long terme les