Lamartine
Indéniablement reconnu comme l’un des plus grands poètes de son époque, il n’en fût pas de même pour ses récits politiques qui furent pour la plupart lourdement critiquées. Ses œuvres seront de plus en plus marquées par ses idées.
À travers « Histoire des girondins » publié en 1847 il montre son évolution vers le partie de gauche.
Lamartine croit au progrès : l’histoire est en marche et les révolutions sont un moyen divin pour atteindre un objectif.
Il écrit trois odes politiques en 1831 « contre la peine de mort », « A Némésis », et « Les révolutions ».
Il rédige également « Trois mois au pouvoir » en 1848, « Histoire de la révolution de 1848 » en 1849, « Histoire des constituants » en 1850, « Histoire de la restauration » en 1859, « Mémoires politiques » en 1863.
Lamartine œuvre aussi pour la paix, «Jocelyn » en 1836 comme « la chute d’un ange » en 1838 témoignent des préoccupations sociales de l’auteur.
Lamartine à joué un rôle majeur dans la vie politique française à travers ces actions et ses idées. Il se prononce en faveur de la liberté de la presse car pour lui bâillonner la liberté de la presse c’est bâillonner à la fois le mensonge et la vérité. Les gouvernements libres ne le sont pas toujours par elle mais ils ne seraient jamais libres sans elle.
Il prône la diffusion d’un enseignement populaire de base car donner un enseignement large au peuple c’est faire une aumône éternelle aux générations à venir.
Bien que profondément religieux il souhaite la séparation de l’église et de l’état.
Il utilise ses talents littéraires pour combattre la peine de mort ainsi que l’abolition de l’esclavage et son talent oratoire pour conserver le drapeau tricolore.
Lorsque Lamartine s’éteignit le 28 février 1869, l’Empire voulut lui décerner des funérailles officielles, mais conformément à sa volonté maintes fois exprimée, sa dépouille fût transportée à Saint Point sans aucun apparat.
Une statue en bronze de Lamartine a été élevé à Mâcon en