L’argumentation et la rhétorique
Par la suite sont présentées les figures de la rhétorique: l es tropes : ce sont des figures de pensées, de procédés et de substitution. Les syllepses : ce sont les jeux de mots fondés sur l’homonymie et la paranomie; les jeux de sonorités et les figures de construction. À la fin de ce chapitre, il est énuméré les genres de l’éloquence celles-ci sont: le genre délibératif: il consiste à conseiller ou à déconseiller en fonction des valeurs de l’utile et du nuisible; le genre epiditique: il est celui du discours faisant l’éloge; et enfin le genre judiciaire: ici on parle au passé simple en vue d’accuser ou de défendre avec les valeurs du juste et de l’injuste. …afficher plus de contenu…
L’argumentation se définit par sa finalité, par le pourquoi de son existence: défendre, convaincre, persuader ou provoquer l’adhésion. L’objectif de l’argumentation étant de persuader, de convaincre et de délibérer, elle met en jeu de manière explicite ou implicite un système de pensée. Le locuteur s’il veut toucher son destinataire, il doit s’efforcer à comprendre le système de valeurs de ceux à qui il s’adresse. Dans ce chapitre il est présenté les types de raisonnement: le raisonnement déductif: il part d’un principe général pour en tirer une conséquence particulière; le raisonnement analogique: il va du particulier au particulier et montre la ressemblance entre deux domaines d’analyse; le raisonnement par l’absurde: ici, il présente les arguments de la thèse contestée de manière grotesque pour les tourner en