LE BINGE DRINKING
De la reconnaissance d’un problème à la mise en œuvre d’actions
De la reconnaissance du problème du « Binge drinking » en France jusqu’à la mise en place d’actions.
Synthèse
Le « binge drinking », est un phénomène d’origine britannique, qui est apparu en France vers les années 2000. En 2002, ce phénomène ayant pris de l’ampleur, il est devenu une priorité nationale de santé publique. Il fut reconnu par les services des urgences, les spécialistes en alcoologie, la Fédération des acteurs de l’alcoologie et de l’adictologie dans l’objectif de diminuer la consommation d’alcool et de limiter les conséquences sur la santé. Différentes institutions telles que l’OFTD (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) à l’aide de l’enquête ESCAPAD (Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l'Appel de Préparation À la Défense), l’INPES avec une étude qui estime la consommation de l’alcool ainsi que le Journal Officiel en ont également fait la constatation.
Etant donné la situation, l’ancienne ministre de la santé Roselyne Bachelot, à instaurer un plan pour lutter contre l’alcoolisation, en interdisant dans un premier temps, la vente d’alcool aux mineurs et des open bars et dans un second temps d’éviter de faires des jeunes de futurs consommateurs réguliers.
Après consultation de la Conférence Régionale de Santé (CRS), le Plan Régional de Santé Publique (PRSP) Rhône-Alpes à été mis en place. Au niveau départementale, le chef de projet «drogues et toxicomanie», est présent dans chaque préfecture. Il impulse et coordonne le plan départemental de lutte contre les drogues portant à la fois sur la prévention globale, la prise en charge, le respect de la loi et la lutte contre le trafic. Comme tout employeur, le maire est tenu de tout mettre en œuvre pour améliorer les conditions de travail et assurer le bien-être de ses personnels. Il est donc souhaitable que le maire