Le chene et le roseau
Le texte, dans sa première partie, s'amorce par un dialogue entre le chêne et le roseau (vers 2 à 24). On nous y expose la situation initiale très rapidement, et on peut y entrevoir le chêne robuste et arrogant rabaisser le roseau frêle et sans défense, sans action de la part d'aucun des protagonistes. C'est le roseau, vecteur de malheur, qui déroule le tapis rouge pour le coup de théâtre à venir : le vent tempêtueux parvient à déraciner le bel arbre