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Le ciècle des lumières

412 mots 2 pages
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EONNET Mathilde 2D6.
C’est l’été, ils sont en vacances.
Il fait bon, il est bien, il fait trempette, il se tourne et se retourne dans l’eau c’est merveilleux pour lui cette sensation de flotter.
Aujourd’hui, il fait beau et chaud les rayons du soleil laissent une douce chaleur effleurer son corps. La journée semble calme, pas de bruit. C’est reposant il va en profiter pour faire une petite sieste. Il va se me mettre dans sa posture préférée et s’endormir.
Mais que ce passe t’il? Le voilà chahuté tout à coup, et puis ces cris ?
Ah ! C’est Margo et Juliette qui rentre de la pêche, pas moyen d’être tranquille bien longtemps. Enfin, c’est agréable pour lui de ne pas être toujours tout seul. La solitude commence parfois à lui peser. Il lui est encore difficile de communiquer avec les autres. Parfois quand il est en forme il lui arrive de donner quelques coups de pieds c’est sa façon à lui de se faire remarquer, mais il est très vite fatigué et doit se reposer. Le soleil est coucher maintenant, c’est le début de la soirée, tout le monde raconte sa journée, lui bien calé les jambes recroquevillées il écoute tranquillement chaque récit.
Puis tout à coup, il se sent mal, il a la sensation d’étouffer. Tout bouge autour de lui, il entend les personnes qui l’entourent s’affoler, s’activer. Il est bousculé, comprimé. C’est une tempête ou quoi ?se dit-il. Cela devient de plus en plus inconfortable, il ressent le besoin de prendre l’air, sinon il va faire un malaise.
Il va peut être falloir l’aider, le chemin vers la porte lui semble long, puis, quelque chose le pousse de plus en plus fort de plus en plus vite et il glisse doucement vers l’extérieur, la lumière lui fait mal aux yeux, il a froid, il tremble, pris de panique il cri à pleins poumons. Un homme le prend dans ses mains et le pose délicatement sur un petit nid douillet et chaud il reconnaît tout de suite cette odeur, le voilà rassuré, blottit contre sa maman, il se laisse caresser

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    L’esprit des Lumières [titre 2] Une révolution de la pensée [titre 3] Le mode de pensée, c’est celui de l’esprit philosophique : « [le philosophe] prend pour vrai ce qui est vrai, pour faux ce qui est faux, pour douteux ce qui est douteux, et pour vraissemblable ce qui n’est que vraisemblable » (Encyclopédie, article « Philosophe »). Les Lumières ne se résument pas à des œuvres, à des combats, ou à des noms de philosophes. Elles sont avant tout une révolution de la pensée : on ne regardent plus le monde (du point de vue de la physique ou de la géographie) comme un territoire impénétrable, où l’on pense que l’homme n’est plus nécessairement le jouet de sa destinée, où l’on croit que le bonheur est désormais envisageable.….

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