Le corbusier en algérie
THESE No 1077 (1992)
PRESENTEE AU DEPARTEMENT D'ARCHITECTURE
ECOLE POLYTECHNIQUE FEDERALE DE LAUSANNE
POUR L'OBTENTION DU GRADE DE DOCTEUR ES SCIENCES
ALEX GERBER
Architecte diplornt2 EPFL originaire de Oberlangenegg (BE)
acceptée sur proposition du jury: Prof. J. Gubler, rapporteur Prof. P. Mastelan. corapporteur Dr J.-L. Planche, corapporteur Prof. A. Ravillard
Lausanne, EPFL
1993
Remerciements Le Corbusier, de passage à Berne en 1954, m'avait personnellement souhaité "beaucoup de succès". Jeune étudiant en architecture, je ne pouvais deviner que je serai, un jour, le chroniqueur de ses deux premiers voyages en Algérie. Grâce à l'aide désintéressée de quelques-uns de ses compagnons, celà fut finalement possible. Par leur conseils bienveillants et l'évocation de leurs souvenirs personnels, auxquels s'est ajouté la fourniture de documents inédits, ils m'ont aidé à surmonter le sentiment de mes lacunes et de mes incertitudes. Le résultat, va-t-il satisfaire Jean de Maisonseul, Jean Petii et Samir Rafi; peuvent-ils admettre que l'on doit essayer de jeter un regard neutre sur celui qui avait été leur ami? M'adressant cette fois à l'historien Jean-Louis Planche, de nouveaux doutes m'envahissent. L'ayant rencontré lorsque ma thèse avait déjà pris sa forme définitive, il n'était plus possible de tout remettre en cause. Je n'ai, pourtant, pas hésité de profiter amplement de sa compétence professionnelle et de ses nombreux conseils d'ordre pratique. Je le remercie du vif intérêt porté à mes recherches empiétant sur le domaine de l'histoire. II va, peut-être, utiliser ses connaissances pour situer les tribulations algériennes de Le Corbusier dans le contexte politique d'alors, poursuivant ainsi mon travail; sous une autre forme. Le nombre de personnes qui m'ont aidé, est considérable. Je pense d'abord, avec tristesse et regret, à celles qui ne sont plus et qui ne verront pas le résultat de mon travail.