Le Diabête non insulinodépendant (85% des diabétiques)

Le diabête de type II est souvent inconnu chez les malades durant de longues années. Les personnes atteintes pourraient observer les signes et les symptômes ci-après : une vue trouble ; une diminution de la sensibilité ou un engourdissement des mains et des pieds ; une sécheresse de la peau accompagnée d'une démangeaison ; de fréquentes infections de la vessie et du vagin ; un besoin fréquent d'uriner ; un besoin de boire et de manger accru ; l'impuissance (un dysfonctionnement érectile) ; un ralentissement de la cicatrisation, des coupures ou des lésions ; un état de faiblesse générale.

Un diabête est détecté lorsque son taux de glucose dans le sang est superieur à 1,26g/L à jeun ou supérieur à 2g/L en temps normal.

Ce diabête touche majoritairement les personnes de plus de 40ans.

Pour les malades, leur difficulté principale est la résistance de leur organisme à l'insuline. Ils ont besoin d'importante quantité pour maintenir une glycémie normale. Cette maladie est due à un trouble de l'assimilation, l'utilisation et le stockage des sucres portés par l'alimentation: ce qui engendre sur de l'hyperglicémie.
Le pancréas fabrique toujours de l'insuline mais pas assez par rapport à la glycémie.
Sinon, l'insuline agit mal et on parle d'insulinoresistance: l'insuline ne peut pas réguler la glycémie et cette résistance épuise le pancréas qui finit par ne plus assurer une production suffisante.
Ce diabête est aggravé par l'excès de poids et amélioré par la perte de poids.

Des médicaments pris par vois orale sont souvent prescrit (hypoglycémiants oraux). Des mesures hygiénos diététique sont à prendre, c'est à dire une alimentation équilibrée et une activité physique régulière.

Le diabête de type II reste une maladie qui se soigne très bien mais qui ne guérie pas. Il faut donc toute sa vie se surveiller.