La peine de mort est considérée comme la négation absolue des droits humains, un meurtre commis par l'État, avec préméditation et de sang-froid selon Amnesty Internationale. Cette définition mentionnée par Amnesty internationale permet de voir que cette organisation est contre la peine de mort. Dans l’article 3 de la déclaration universelle des droits de l’homme, la peine de mort est définie comme une violation du droit à la vie. Le droit à la vie n’est pas clairement définit dans les textes, mais il est reconnu comme le droit suprême dont dépendrait tous les autres droits. Il est déclaré comme intangible, cependant, on peut y déroger dans certaines conditions, prévues par les textes. Ce droit à la vie est mentionné à l’article 2 de la convention européenne des droits de l’homme qui vise à protéger les droits fondamentaux. Ce droit permet le respect de la dignité humaine. Ce droit à la vie commence dès la conception d’après la convention américaine des droits de l’homme. Toutefois, le droit à la vie est reconnu internationalement comme un droit intangible. Les Etats sont donc obligés de le faire respecter. Il est également associé aux droits contre la torture et traitements inhumains ou dégradants et contre la servitude. Ce sont les trois droits intangibles. Mais le droit à la vie est un droit particulièrement délicat. La peine de mort est aujourd’hui interdite sauf dans certains Etats comme les Etats Unis. Mais avant 2003, la peine de mort n’était pas interdite et n’était pas sanctionnée. L'Europe par l'intermédiaire de la Convention européenne des droits de l'homme et son article 2 privilégie le recoupement entre droit à la vie et peine de mort. La peine de mort à longtemps été considérée comme la punition du groupe envers un individu qui ne respecte pas les règles de vie de sa communauté. Pour certains, l’origine de la peine de mort apparait avec la construction de l’Etat. Les recoupements entre la peine de mort et le droit à la vie sont nombreux. Il convient de