Le désir
Du coup pour la thèse on peut appuyer l'importance de s'épanouir.
Pour approfondir un peu on peut se poser la question de savoir si cela nous rend vraiment heureux ou si c'est plus une dynamique : on est heureux quand on à un projet, quelques chose à réaliser, le désir serait comme une carotte qui fait avancer. On peut retourner la question en se demandant s'il est nécessaire de désirer quelque chose pour réaliser des choses. Bref déboucher sur l'importance de la passion pour agir, pour vivre dans une certaine cohérence avec nous-même. Du coup sous cet angle oui il faut essayer de réaliser ses désirs.
Il faut aussi essayer de parler du terme "tout" qui relativise un peu. On peut réaliser certains désirs, peut-être pas tous ? pourquoi ?
Là c'est plutôt l'anti-thèse, la question de base engendre une question éthique de société qu'on peut rapprocher avec des questions sur la liberté : ma liberté s'arrête là où celle de mon voisin commence. Une question morale s'impose : mes désirs sont-ils en accord avec la sociétés. S'il ne le sont pas dans quelle mesure dois-je me restreindre ? On a effectivement vu l'importance de réaliser ses désirs dans la première partie mais on les a aussi différencier des besoins. Ce qui désigne l'humanité n'est-ce pas justement cette possible cohésion sociale que l'on tisse entre nous. Cette cohésion est souvent fragile. Donc, si mes désirs sont en désaccord avec autrui et pour autant qu'il s'agit bien de désir et non de besoin ( sous entendu vital ) il est je pense de bon ton que je ne réalise pas tous mes désirs. Mais en renonçant à une telle liberté n'embrasse-t-on pas un idéal plus grand et donc