Le déséspéré

453 mots 2 pages
Gustave Courbet; le désespéré

Gustave Courbet: il nait le 10juin 1819 à Ornans dans le Doubs, Il part pour Paris vers la fin de 1939 où il suit des études de droit, Après l'encouragement d'un peintre d'histoire ( Hesse ) il se rend au Louvres étudier les maîtres en particulier Espagnole du 17ème, En 1842 il peint un premier autoportrait ( autoportrait au chien noir ), en 1849 Courbet revient à Ornans, il oublie alors le style romantique des ses premiers autoportrait et inspiré par son terroir il crée un style qu'il qualifie lui-même de réalisme, Il peint plusieurs tableau qui font scandale comme en 1851 «un enterrement à Ornan» dont le format est très grand se qui est habituellement destiner au tableaux d'histoire et de gens noble, alors que sur se tableau est peints des gens simple ( notables membres de la famille courbet), ou encore en 1853 « les baigneuses » où l'on voit 2 femmes dont une nue avec un voile, c'est une femme normale avec des formes pas idéalisée( se qui va choquer la société) avec des pieds sales se qui va aussi choquer car à cette époque on liait la saleté du corps à la saleté morale, en 1859, il découvre les côtes normandes : paysages puissants il peint énormément de nature morte, et de paysages, il refuse la légion d'honneur proposée par Napoléon 3 à cause de ses idées républicaines et socialistes, après la proclamation de la république,********************************* il meurt le 31 decembre 1877,

Le désespéré: Les yeux écarquillés, les narines dilatées, la bouche entr'ouverte, Gustave Courbet semble vouloir s'avancer en direction du spectateur, se rapprocher de lui, le prendre à témoin, l'attirer dans ses désespoir. Il avait déjà procédé de la même façon l'année précédente, dans son Petit Portrait au chien noir. Il nous regarde, mais n'a pas vraiment l'air de nous voir. C'est à lui-même qu'il s'en prend, en s'arrachant les cheveux. Il ne représente pas sa personne ou son individualité, mais son acte, son élan. L'éclairage est fait

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