Le survenant
Je n’ai pas apprécié ce roman de Germaine Guèvremont. J’ai eu de la difficulté à comprendre l’histoire tout au long du roman. Je crois qu’étant donné que le livre a été publié il y a 67 ans, ça n’a pas aidé, puisque le vocabulaire et les expressions de nos jours ne sont plus les mêmes. Aussi, c’est un roman où il se passe très peu d’action, donc à chaque fois que j’arrêtais de lire le roman, je n’étais jamais intéressé à poursuivre la lecture. Je n’avais jamais le goût de savoir la suite, ce qui n’est habituellement pas mon cas lorsque je lis un livre. Également, je ne suis pas habitué à lire des romans aussi longs, donc je trouvais que la fin n’arrivait pas vite. J’avais beau me dire qu’il ne me restait que 50 pages, mais je n’avais pas l’ambition de le finir. Je l’ai tout de même fini, mais seulement pour faire ce travail. Juste de moi, j’aurai abandonné la lecture après une dizaine de pages. Je ne comprends pas que ce roman est populaire et que des gens peuvent l’aimer. Il n’a jamais eu un petit suspense qui s’à installer en moi pour me demander ce qu’il allait se produire. Donc, j’ai pu comprendre, suite à la lecture de cette œuvre de Mme Guèvremont que je n’aime pas du tout les romans du terroir québécois, surtout eux qu’il n’a presque pas