Le mendiant
Un riche peut-t-il se sentir mieux au fond de lui en tendant la main à un pauvre?
La pauvreté des uns empêche-t-elle la richesse des autres?
Les riches et les pauvres peuvent-t-ils s'entendre?
L'hospitalité à-t-elle des limites?
Rencontre entre 2 personnages, un homme banale et un pauvre homme. Cette première partie raconte l'histoire d'un pauvre homme parmi tant d'autres faisant son chemin dans le "givre et le vent" (Indique la détresse). Lorsque tout d'un coup, vers 3 il reçoit le mendiant chez lui (rejet "Ma porte", la sienne, celle du personnage plein d'hospitalité). "Les ânes revenaient du marché de la ville" (décrit une scène banale, de la vie de tous les jours). Vers 6-9, montre la différence entre "le vieux de la niche" qui rêve du bonheur, l'auteur met sur le même plan des éléments opposés. Le pauvre est un être qui est proche de dieux.
Changement du nom du mendiant "Un pauvre" vers 1, "Le vieux" vers 6, "Le pauvre" vers12, incarnation de la misère et du brave homme qu'il est. "Je lui répondis pensif et sans l'entendre" il ne répondait pas mais sa seul réaction était de le regarder pensif et donc ne pouvant pas entendre ce que le vieux disait car Victor Hugo était noyé dans ses pensées.
Son manteau est comparé au ciel habituellement bleu, qui sous entend que son manteau était neuf et avec le temps s'est usé, usure qui est métaphorisé par "piqué de mille trous par la lueur de braise, couvrait l'âtre et semblait un ciel noir étoilé. "Pendant qu'il séchait ce haillon désolé" (ce haillon = vêtements usé, accentue le faite qu'il soit un pauvre homme, "d'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières", le pauvre homme n'a pas de toit et a vécu les intempéries, synonyme d'avoir passé le plus dure mais que malgré tout, sa foie en dieu et là. "Je regardais sourd à ce que nous disions" (oxymore). Synecdoque = Le manteau (la chose) est remplacé par la matière (la bure)
On ressent l'affection, la sympathie et