Le monde comme volonté et comme représentation
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Cet extrait de texte propose à mes yeux deux réflexions: premièrement l'étonnement comme source et origine de l'interrogation philosophique et métaphysique, deuxièmement la connaissance comme résultat de l'interrogation philosophique et comme explication métaphysique du monde. Ainsi l'auteur de ce texte à partir d'un postulat " excepté l'homme, aucun être ne s'étonne de sa propre existence" déroule une pensé qui lui permet d'affirmé à la fin que "si notre vie était infinie et sans douleur, il n'arriverais à personne de se demander pourquoi le monde existe, et pourquoi il à précisément telle nature particulière; mais toutes choses se comprendrait d'elles - mêmes" en d'autres termes si la mort n'était pas le terme de notre existence, notre vie pourrait être sans question donc sans philosophie et sans métaphysique. Mon commentaire s'articulera autour de ces deux dimensions l'étonnement et la connaissance. L'étonnement est à l'origine de la philosophie et de la métaphysique. L'homme nous dit l'auteur est le seul être à s'étonner de sa propre existence. Est ce que tous les hommes s'étonnent ? Est ce vraiment le seul a s'étonner ? Deux questions que l'auteur évacue de sa dissertation, pourtant nous savons que parmi les mammifère certains comme les grand primates, ont des choses communes à nous. Les zoologiste ont observé des comportements pouvant évoquer des rite funéraires quand l'un d'entre eux décède. Chez les loups qui sont des animaux sociaux des comportements collectifs d'accompagnement des mourants existent aussi. Certes ses observation ne suffise pas pour confirmer un étonnement de l'existence, mais témoigne tout de même d'un rapport à celle-ci tout au moins de sa finitude. Si de tous les être seul l'homme en tant qu'espèce s'étonne de sa propre existence est ce que tous les hommes en tant qu'individu a cet étonnement ? Il est difficile de répondre définitivement à cette question, en effet les déficient mentaux ont ils des étonnement qui les renvoie à leur